Le jeu chez les jeunes : une tendance à surveiller !
Une réalité contrastée pour les jeunes joueurs
D’après une étude menée au Royaume-Uni, il semblerait que 1,2 % des jeunes soient dans une situation de jeu problématique. Cela ne signifie pas que tout est rose, mais attendez un peu, c’est un sujet qui mérite d’être décortiqué avec humour, un bon verre de soda à la main et un paquet de chips sur les genoux !
En 2025, il s’est avéré qu’un bon nombre de jeunes s’essaient à différentes formes de jeu. Sur 3 666 adolescents de 11 à 17 ans interrogés, 30 % ont avoué avoir dépensé leur propre argent pour jouer, un petit saut par rapport à 27 % en 2024. Cool, non ? Peut-être un peu trop cool pour des activités de ce genre, d’ailleurs !
Entre les parties de cartes avec les copains et les paris entre amis, les jeunes semblent trouver du plaisir à piquer quelques euros à leur maigre économie de poche. On vous en parle juste après, mais les machines d’arcade se semblent être en tête de liste avec 21 %. Mais attention, presque personne ne semble vraiment se tourner vers les jeux réglementés, ça doit être un peu trop sérieux pour la bande !
Publicités et influenceurs : la double lame
Les jeunes sont bombardés de publicités liées au jeu : près de 49 % d’entre eux affirment en voir au moins une fois par semaine sur les réseaux sociaux. Et devinez quoi ? Les garçons sont les plus exposés, avec 53 % d’entre eux qui se frottent à ces nouvelles tendances publicitaires.
Et ce n’est pas tout ! Environ 31 % des jeunes affirmant avoir vu du contenu lié au jeu, admettent qu’un influenceur leur a déjà conseillé un produit de jeu. Ça fait réfléchir ! Après tout, les jeunes savent-ils faire la différence entre une simple pub et un contenu divertissant ? Et que dire de l’impact des influenceurs sur leur vision du jeu ?
En jetant un œil sur leurs motivations, il est intéressant de noter que 78 % des jeunes qui ont joué l’ont fait pour s’amuser. Mais attention, avec tout cela, l’univers du jeu peut mériter une juste dose de vigilance. Même si le taux de jeunes en situation de jeu problématique est resté stable, il serait imprudent de baisser la garde.
Pour finir, le jeu est peut-être en train de devenir un passe-temps presque banal parmi les jeunes. Que se passe-t-il quand on associe un proche à cette pratique ? Est-ce un coup de pouce ou un sentiment de mise en garde ? Les études ne peuvent pas trancher, mais cela vaut la peine d’y penser !