L’Islande face à un big bang du jeu d’argent !
Des règles à revoir d’urgence
Les jeux d’argent en Islande, c’est un peu comme un poisson sans eau : ça ne marche pas ! Le gouvernement se trouve dans une situation délicate, pris dans la tourmente d’une législation sur les jeux qui date d’une autre époque. Ces règles, instaurées en 2005, semblent aussi dépassées qu’un téléphone à clapet. Il est temps de mettre à jour les textes, surtout avec l’explosion des plateformes de jeux en ligne, des pubs internationales qui pullulent et des flots d’argent venant de l’étranger.
Il faut agir avant que ça ne dérape
La situation devient critique, et les urgents appels à la réforme n’ont jamais été aussi bruyants. Pourquoi, demandez-vous ? Simple ! Le ministère de la Santé a fait un grand pas en avant en signant un accord avec SÁÁ, une organisation qui lutte contre les addictions. Pour la première fois dans l’histoire, l’État va mettre au pot pour aider ceux qui luttent contre la dépendance au jeu. Oui, l’Islande commence enfin à réaliser que le jeu peut poser un sérieux problème social !
C’est un véritable jackpot de dépenses : environ 250 millions d’euros chaque année dépensés par les Islandais sur des sites de jeux étrangers. Et là où ça devient louche, c’est que pour l’instant, seuls deux opérateurs légaux sont sur le terrain, mais plein d’autres acteurs internationaux se baladent tranquillement, profitant d’un système qui leur permet de faire leur show sans se soucier des règles. Les médias, eux, en profitent pour faire de la pub pour des sites illégaux, parce que, vous savez, c’est le Far West là-dedans, pas de contrôle, pas de problème !
Pire encore, les marques de jeux grands comme des maisons, se font la belle sur les réseaux sociaux et même à la télé sans que le gouvernement n’intervienne. Le problème, c’est qu’il n’existe pas d’autorité compétente pour vérifier tout ça, et c’est un peu comme laisser un enfant dans une confiserie ! Des voix s’élèvent pour réclamer une autorité nationale qui gère tout ce bazar : surveiller les opérateurs, financer la prévention des dépendances, et surtout, encadrer la publicité. Pas de réforme, pas de progrès !
Les critiques n’épargnent pas la loi actuelle qui est proche de la retraite. Elle est complètement déphasée face aux réalités modernes comme les applications qui piègent et les bonus alléchants qui rendent accro. Il est plus que temps que l’Islande s’inspire sérieusement des législations plus modernes en Europe. Le Parlement devrait discuter du futur des jeux en Islande cet automne, et on a hâte de voir si des changements verront le jour. Allez, Iceland, montre-nous que tu peux le faire !