D66 veut freiner la hausse de la taxe sur les jeux
Une taxe qui fait débat
Alors que nos élus se penchent sur le prochain projet de loi fiscal pour 2026, il y a un sujet qui agite déjà les foules : la hausse fatidique de l’impôt sur les jeux d’argent. Accrochez-vous, ça part en cacahuète !
Le parti D66, dans un sursaut héroïque, demande à ce que cette augmentation soit mise sur le frein d’urgence. Sans chichi, ils estiment que rajouter du poids sur les joueurs pourrait avoir des effets catastrophiques. Faut pas se mentir, une taxe trop élevée, c’est comme ajouter des épices à un plat déjà corsé : ça risque de faire grincer des dents!
La voix de l’opposition
Lors de la première journée de discussions, Henk-Jan Oosterhuis, l’un des champions du D66, a sauté sur son cheval pour demander au gouvernement d’oublier cette hausse prévue à 37,8 % dès janvier 2026. Selon lui, les chiffres qui justifiaient cette flambée sont loin d’être aussi sexy que prévu.
Dans ses lamentations, il rappelle que la hausse précédente, celle qui devait remplir les caisses de l’État à ras bord, s’est juste volatilisée. Les attentes étaient là, mais les résultats ? Pas même l’ombre d’une pièce ! Oh et puis, on en parle des gens qui, pris à la gorge par de telles taxes, se jettent vers des plateformes illégales ? Pas top ! En gros, on met un raccourci direct vers le far west digital !
Pour illustrer ses propos, Oosterhuis assure que trop de taxation peut finir par sonner le glas des recettes. Faites passer le message : plus on taxe, moins on gagne ! Comme un bon petit jeu de société, faut parfois savoir baisser les enchères.
Dans ce tourbillon, d’autres députés font chorus avec Oosterhuis, soulignant qu’il est grand temps de faire un vrai audit sur l’impact de ces hausses passées, avant d’ordonner une nouvelle sonnerie de caserne fiscale.
Le secteur du jeu n’est pas en reste. Entre casinos, plateformes de jeux autorisées et loteries, toutes annoncent à l’unisson qu’elles ne sont pas d’accord avec cette hausse. Et leurs arguments, ils les balancent comme des pro : une taxe trop élevée est un passeport direct vers les zones où la loi n’a aucune prise. Tout le monde sait qu’un terrain miné est un place à fuir !
Oosterhuis résume le truc en disant qu’une hausse de taxes sur les jeux, c’est comme une invitation à fuir vers le ténébreux circuit illégal. Alors où va-t-on ? Cela nuirait à la surveillance, aux recouvrements fiscaux et surtout, ça ne va pas vers les objectifs que l’on s’est fixés. Karma is coming to get us!
La demande de D66 ne fait pas que frémir les politiciens, elle détonne un message sous-jacent : est-ce que la fiscalité seule peut vraiment dompter un secteur aussi sensible que le jeu ? Attention, car cette décision risque de largement redessiner le paysage du jeu en France, ainsi que la manière dont on aborde la prévention et la régulation. Accrochez vos ceintures, le spectacle ne fait que commencer !