Une étude alarmante sur le gaming et les jeunes

Une étude alarmante sur le gaming et les jeunes
14 novembre 2025

Le gaming et les problèmes de jeu, une réalité inquiétante

Ouais, vous avez bien entendu ! Une étude venue tout droit de Norvège montre que nos ados, entre 12 et 17 ans, qui sont accros aux jeux vidéo, particulièrement ceux qui achètent des lootboxes ou parient sur des «skins», risquent sérieusement de voir leur rapport au jeu devenir problématique. Si ça ne donne pas à réfléchir, qu’est-ce qui le fera ?

Des chiffres qui font froid dans le dos

Un peu plus de 9 000 jeunes ont participé à cette enquête – c’est comme un petit royaume de gamers ! Et tenez-vous bien, plus de 27 % d’entre eux ont avoué avoir dépensé des sous dans des lootboxes l’année passée. Pas mal, non ? En plus, 29 % ont mis la main à la pâte en achetant des «skins» numériques et 15 % ont même osé tenter le «skin betting». Ça, mes amis, c’est comme jouer à la roulette sans savoir vraiment où on met les pieds !

Il semblerait que ces jeunes qui se lancent dans les paris virtuels s’enlisent plus vite dans les jeux d’argent classiques. On dirait que le professeur Ståle Pallesen, le boss de l’étude, tire la sonnette d’alarme à propos de cette tendance. Il remarque que, oh surprise, les garçons sont de loin plus touchés que les filles ! 45 % des garçons ont craqué pour des lootboxes contre seulement 9 % d’entre elles. Et s’agissant des jeux d’argent réel, la tendance est la même avec 27,7 % des garçons et seulement 9,3 % des filles qui y ont goûté.

Le professeur Pallesen résume bien la situation : « On gagne souvent, ça a l’air facile, et c’est ça qui est fourbe ! » Autrement dit, les jeunes apprennent à jouer d’une manière qui ne colle pas du tout à la réalité des jeux d’argent. Vous sentez le piège se refermer ?

À l’autre bout, l’autorité norvégienne a déjà fait sonner l’alarme sur ces dangers. Ils essaient de mettre en place des règles pour éviter que le jeu, même en ligne, ne devienne un cauchemar pour les jeunes. Cette situation fait déjà grincer des dents parmi les politiciens norvégiens, et la pression pour réformer la politique des jeux d’argent dans le pays monte comme une pile de cartes mal empilées.

Bon, pour conclure, l’étude dévoile que 7,1 % des jeunes font face à de sérieux problèmes de jeu et 15 % montrent des comportements alarmants. Ce n’est pas juste une petite inquiétude en passant, mais un vrai fléau qui touche une génération entière. Alors, la question est : que va faire le gouvernement face à ce flot de nouvelles inquiétudes ?