🔴 [Vidéo] Royaume-Uni : la consommation de viande est “sexiste” et “raciste” selon une écrivaine ⤵️https://t.co/ethb7vWU5c
— Valeurs actuelles ن (@Valeurs) February 11, 2022
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30/10/2015 – SCIENCES (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Une étonnante conjonction d’études vient depuis quelques jours jeter le trouble sur les assiettes et les habitudes alimentaires de nos contrées. Outre une étude de l’université du Michigan qualifiant le fromage de drogue comparable au tabac ou à l’alcool, un docteur californien aurait prouvé que le sucre est en réalité… toxique.
Plus sérieux encore, l’OMS, a publié le 26 octobre un rapport aboutissant ni plus ni moins qu’au classement des viandes rouges et de la charcuterie dans la catégorie des aliments « cancérigènes », au côté du tabac.
Le rapport est néanmoins contesté, notamment par le critique culinaire Périco Légasse
Il est permis d’avoir des doutes quant à la force probante de celui-ci, d’autant qu’il ne se base que sur 10 études, alors que plus de 800 avaient été réalisées.
Autre fait susceptible de fausser la donne : ces études se réfèrent pour 90 % à des données venant des États-Unis, pays peu connu pour la qualité de sa viande et où la consommation de celle-ci n’est en rien comparable à la nôtre : la ration de steak y est en moyenne de 500 grammes, alors qu’elle n’est que de 100 grammes en France ; son taux de lipides est de 24 %, contre 4 % ici.
N’est-il pas étonnant de voir de telles études sortir dans les médias les unes à la suite des autres ?
Effectivement, et l’on pourrait être tenté de s’interroger sur d’éventuels arrières pensées politiques. Le marché européen de la viande, considérablement fragilisé, aura beaucoup de mal à se remettre d’une chute de la consommation de viande, laissant les mains libres au secteur américain en meilleure forme.
On peut également se demander si cette attaque contre la charcuterie, véritable tradition française, n’est donc en définitive pas menée pendant que celle-ci est envahie par des personnes n’en consommant pas. Le Grand remplacement culinaire est-il un prélude au Grand remplacement tout court ?
Charcuterie cancérigène, la profession de la santé appelle au bon sens. #OMS # https://t.co/GF53UCbIo0
— Hirslanden Romandie (@hirslandenRmde) October 29, 2015
apres charcuterie cancérigène ,épisode 2 le kebab pour tous épisode 3 la nourriture halal empêche de tomber malade https://t.co/7ORucAo8m8
— Patchman #VFrVN #RBM (@Patchman_L) October 28, 2015
25/07/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Les Grandes Gueules ont parlé du projet de François Barouin d’instaurer un droit de préférence, pour permettre aux élus locaux d’approvisionner notamment les cantines scolaires en viande française.
Selon Franck Tanguy, il ne faut pas seulement penser à la France mais aussi à l’Europe dans la répartition alimentaire. Ce dernier pense que de vouloir faire consommer de la viande uniquement française n’est pas envisageable.
"Acheter de la viande uniquement française est… par rmc
Près de 9 Français sur 10 soutiennent le mouvement des éleveurs http://t.co/GJsFhCwUM6 #JDD pic.twitter.com/wmovI9n9ZV
— Le JDD (@leJDD) 25 Juillet 2015
05/07/2014 – BAILLEUL (Novopress via le Bulletin de réinformation)
L’abattoir de la société ovine Flandre Artois (SOFA), basée à Bailleul (Nord), vient de suspendre ses activités. Les services vétérinaires ont relevé une série d’infractions aux normes d’hygiène. La suspension durera aussi longtemps que l’abattoir n’aura pas effectué les travaux de mise aux normes. La SOFA emploie dix salariés et alimente une bonne partie du réseau halal de la métropole lilloise et du Dunkerquois.
Crédit photo : DR
24/04/2014 – PARIS (NOVOpress)
L’interprofession nationale porcine INAPORC introduit sur le marché un nouveau logo baptisé « Le Porc français » en remplacement du logo « VPF » (Viande de porc française). Son graphisme se révèle être plus explicite que l’ancien et permet ainsi d’identifier d’un seul coup d’œil les informations recherchées par les clients. La silhouette de la France et les couleurs qui sont celles du drapeau tricolore indiquent clairement l’origine française des produits. La tête de cochon incarne l’aspect populaire et convivial de la viande de porc, un animal culturellement consommé en France et en Europe depuis des millénaires. Se mettant en place progressivement, le déploiement complet du nouveau logo « Le Porc français » sur les étiquettes et emballages s’étalera tout au long de l’année 2014 .
La France est le 3ème producteur européen de viande de porc avec une filière porcine qui emploie 100 000 personnes. Reconnue officiellement par les pouvoirs publics depuis 2003, INAPORC représente les professionnels de cette filière dont elle rassemble tous les métiers (fabricants d’alimentation animale, éleveurs, coopératives, abatteurs-découpeurs, industriels de la charcuterie-salaison, grande distribution, artisans bouchers et charcutiers-traiteurs, restauration collective). À travers le logo « Le Porc français », les professionnels garantissent une viande et des produits de charcuterie issus de porcs nés, élevés, abattus et transformée sur le territoire national, ce qui contribue au maintien de l’emploi, et assurent une traçabilité totale ainsi que la certitude de l’application de normes sanitaires françaises et européennes rigoureuses.
Crédit photo Une : Manonoc via Wikipédia (cc).
27/02/2013 – 21h10
MOSCOU (NOVOpress) – L’affaire de la viande de cheval, présente dans des plats cuisinés estampillés « viande de bœuf », se transforme en scandale européen. Selon Le Figaro, les supermarchés européens sont inondés désormais de viande de cheval. Avec la mondialisation des échanges, « les produits frauduleux se sont retrouvés dans les rayons de toutes les grandes chaînes de distribution en Europe », écrit Le Figaro. Une vingtaine de pays seraient touchés.
16/02/13 – 18h10
PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Cette semaine les révélations autour de la viande dans nos assiettes ont été crescendo. Alors qu’en début de semaine, des traces de viande de cheval avaient été retrouvées dans des lasagnes surgelés, prétendument au bœuf, avant-hier de la phenylbutazone, un anti-douleur puissant pour les chevaux, interdit chez l’homme par la bouche du fait de ses complications et aussi chez les chevaux destinés à l’alimentation humaine, a été mis en évidence dans trois carcasses de cheval provenant d’abattoirs britanniques à destination de la France.
15/02/2013 – 16h00
PARIS (NOVOpress) – Avec l’affaire Spanghero, c’est un véritable système de duperie à l’échelle européenne qu’ont découvert les enquêteurs de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). « L’enquête démontre que Spanghero savait qu’il étiquetait “bœuf” potentiellement de la viande chevaline. En tout cas, il y a une suspicion fort e», a déclaré Benoît Hamon – ministre délégué à la Consommation – jeudi soir, suite aux premiers résultats de l’enquête.