«Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
Aujourd’hui, visite en Allemagne, qui est décidément bien dure avec les « migrants ». Faisant fi du respect dû à leurs charmantes coutumes, nos voisins intentent un procès à une sympathique bande de réfugiés qui, suivant l’habitude prise dans leur pays d’origine, pillaient églises et écoles pour financer le djihad.
C’est un procès-fleuve, sous très haute sécurité, qui vient de s’ouvrir devant le tribunal de grande instance de Cologne. 47 jours d’audience sont d’ores et déjà prévus pour juger les huit prévenus, huit immigrés musulmans accusés d’avoir mis la région au pillage. Ils s’en sont spécialement pris aux églises, où ils entraient par effraction et volaient « des croix précieuses, des vases sacrés, des chandeliers », qu’ils vendaient ensuite pour financer le djihad en Syrie.
Selon l’acte d’accusation lu par le procureur Nadja Gudermann, les accusés
sont issus de la mouvance salafiste. Le produit de leur banditisme en bande organisée devait, camouflé en don, être envoyé à des combattants en Syrie. Le but des actions militaires ? Renverser le régime de Damas, établir une théocratie islamique, introduire la charia.