Alvarium, Génération identitaire…« Les dissolutions d’associations..des annonces politiques qui obstruent le travail des policiers sur le terrain ». Un membre du SCRT témoignehttps://t.co/z06mCyupbO
— Breizh-Info (@Breizh_Info) February 22, 2022
Alvarium, Génération identitaire…« Les dissolutions d’associations..des annonces politiques qui obstruent le travail des policiers sur le terrain ». Un membre du SCRT témoignehttps://t.co/z06mCyupbO
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Par un ancien haut responsable du renseignement militaire français, sous pseudonyme.
Par bien des aspects, l’épisode de la menace de frappe dans l’actuelle crise syrienne rappelle celui de la crise des missiles de Cuba où le dirigeant soviétique de l’époque, Krouchtchoff, au moyen de ce qui fut bien au final une savante manœuvre ponctuée d’une effrayante montée aux extrêmes, finit par concéder au président américain Kennedy la victoire morale de la confrontation (car il s’agissait, déjà, de lui sauver la face), alors que celui-ci céda en fait sur toute la ligne en retirant promptement ses propres missiles nucléaires pointés sur l’URSS à partir de la frontière nord de la Turquie.
Siège de la DCRI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Crédit photo : Mouloud47
via Wikipédia (cc).
05/04/2013 – 14h30
PARIS (via Chez Spoutnik) – Je m’interrogeais déjà l’année dernière, suite à l’affaire Merah, sur les objectifs réels de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur). Il semblait, au vu d’un certain nombre de faits (le traitement de l’affaire de Tarnac notamment) que cette structure, créée par Nicolas Sarkozy en fusionnant les Renseignements généraux et la DST, n’assurait pas sa mission prioritaire de lutte contre le terrorisme. En revanche, il devenait évident que ses objectifs « officieux » étaient de monter des coups politiques au bénéfice seul de l’Elysée. Ce qui fait grincer des dents nombre d’officiers intègres de la DCRI, car fort heureusement il reste encore dans notre pays des fonctionnaires consciencieux. Chose assez inédite, et assez peu médiatisée à l’époque, des officiers de la DCRI s’étaient mis en grève pour protester contre cet état de fait.