Grande-Bretagne : 74% des minorités ethniques se disent fières de leur « race » contre 44% des Britanniques blancs
https://t.co/4fQi0zOYwA— Breizh-Info (@Breizh_Info) January 18, 2021
Grande-Bretagne : 74% des minorités ethniques se disent fières de leur « race » contre 44% des Britanniques blancs
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Ce sera un grand progrès de la conscience universelle, si le Parlement réuni en congrès y consent : la fin d’un racisme inlassablement traqué. En effet, la commission des lois de l’Assemblée nationale, à l’unanimité, a décidé de purger 1a Constitution du mot « race » figurant dans son article 1er : « La France […] assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction de race. »
S’il n’y a plus de race, il n’y aura donc plus de racisme et de poursuites de ce chef. Ce serait logique ! Eh bien non ! Le rapporteur du texte, Yaël Braun-Pivet (LREM), a assuré que la suppression « n’affaiblirait pas l’arsenal juridique » dans la lutte contre le racisme. Bien que les races n’existent pas, on pourra donc continuer à être poursuivi pour racisme. Simplement, le mot « race » dans la Constitution serait remplacé par « origine », ce qui recouvre un champ plus vaste et offre donc l’occasion de saisir la justice plus souvent.
Si le nouveau texte était déjà adopté, ce serait, à n’en pas douter, le président Macron qui en eût été la première victime ; n’a-t-il pas dit au pape : « Les Bretons, c’est la mafia française » ? Et ce n’était pas sous le sceau de la confession. Le chef de l’Etat imputait donc à tous les individus d’origine bretonne une caractéristique négative et diffamatoire en les assimilant à une organisation criminelle. Il aurait dit « des » Bretons, au lieu de « les Bretons », il ne tombait pas sous le coup de la loi… future. Néanmoins, il a affirmé qu’il souhaite « voir aboutir » la suppression du mot « race », espérant réussir là où son prédécesseur avait échoué, Hollande aussi ayant souhaité ce retrait. S’il veut en expurger la Constitution, il ne l’a pas banni de son vocabulaire ! Lors de la campagne présidentielle ne déclarait-il pas, en avril 2017 : « François Fillon a été ministre d’à peu près tout, finalement, il veut faire autre chose, je ne suis pas de cette race-là, je dis non » ?
Sacha Houlié, rédacteur LREM de l’amendement, se félicite : « Nous avons obtenu un large consensus pour toiletter l’article 1er qui correspondait à une Constitution du XXe siècle. » Car les races qui existaient au siècle dernier ont disparu dans notre merveilleux XXIe siècle ! Au XXe siècle, on enseignait aux collégiens qu’il existait des races humaines, au nombre de cinq, ayant chacune des caractéristiques spécifiques, et nul ne voyait dans ces affirmations quelque racisme que ce soit. C’est aussi l’époque où on savait la différence entre distinction et discrimination, alors qu’au XXIe siècle on confond les deux.
Si en 1946, la République restaurée a voulu introduire la notion de race, c’est pour dénoncer le racisme, le nazisme plus précisément. Le préambule de la loi fondamentale l’affirme expressément : « Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race… » Le XXe siècle, c’était aussi cela, M. Houlié…
Guy Rouvrais
Article paru dans Présent daté du 29 juin 2018
#Hollande #esclavage "le mot race ne devrait plus figurer dans la Constitution" https://t.co/5dhknpk6nG pic.twitter.com/yWYQFOLLKI
— RT France (@RTenfrancais) 10 mai 2017
Source : Boulevard Voltaire – « Est-on raciste parce qu’on utilise le mot « race » ? »
Si le concept de race a pu servir de prétexte au racisme, le terme n’est pas en lui-même porteur de connotations négatives.
L’alerte enlèvement lancée mardi soir a provoqué une polémique inattendue. Pour désigner le ravisseur de l’enfant, l’annonce a employé l’expression « individu de race noire ». Scandale ! Le ministère de la Justice, devant les réactions, modifie rapidement son texte, remplaçant le syntagme incriminé par « individu à la peau noire », puis « de couleur noire ». Il reconnaît que « la polémique est légitime » et que « ce terme » [de race], « très regrettable, n’aurait jamais dû s’y trouver », se défaussant par ailleurs, selon la presse, de toute responsabilité : le message est rédigé « par le terrain », c’est-à-dire par la police en lien avec le parquet, « dans un laps de temps très court ».
On peut d’abord s’étonner qu’une partie des téléspectateurs se soient plus émus de l’emploi du mot « race » que de l’enlèvement d’une petite fille de quatre mois : « C’est Nadine Morano qui est l’auteur de ça ? » s’indigne un tweeter, tandis qu’un autre commente, plus opportunément : « Retrouvons le bébé d’abord, on s’occupera du fan de Morano et sa “race noire” après. » Les associations antiracistes, comme la LICRA ou SOS Racisme, n’ont pas tardé à réagir, soit en se félicitant de la prise de conscience rapide de l’erreur commise, soit en dénonçant l’emploi du terme « race » dans un texte de l’État, exigeant des explications sur cette « aberration », ainsi que des mesures pour que de tels faits ne se reproduisent pas.
Source : Boulevard Voltaire
Résumé de ce que ces commissaires politiques vont marteler à nos gosses.
Alain Jakubowicz vient d’être réélu pour trois ans à la tête de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme. Ses premières paroles ont été les suivantes : « L’antisémitisme s’est banalisé et s’exhibe désormais sans complexe. » « La diabolisation de l’islam fait naître une haine antimusulmane quotidienne, frontale et sans complexe. » « Il convient de combattre la prétendue métamorphose du Front national en parti républicain. »
Du 21 au 28 mars se tiendra, dans nos écoles, sous l’égide de l’Éducation nationale et de son ministre, une « Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme »… exactement le fonds de commerce de la LICRA. Les associations dites antiracistes imposeront donc, en toute impunité, le discours de Jakubowicz et de ses complices à de jeunes enfants facilement manipulables.
08/03/2016 – MÉDIAS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation) La cérémonie des Bobards d’or approche à grand pas, aussi nous poursuivons notre présentation des candidats. Aujourd’hui, c’est un triple bobard, raciste qui pis est !
Plus de dix ans après les émeutes du ramadan en 2005, les médias se font toujours l’écho de ces trois bobards. Le premier bobard concerne l’affaire qui aurait déclenché les émeutes de 2005, la mort de Zyed et Bouna dans un transformateur électrique. Cet accident peint en bavure policière avait mis le feu aux poudres suite à son traitement dans les médias. Dix ans plus tard, et malgré une relaxe des policiers par le tribunal correctionnel de Rennes, les médias continuent à parler, je cite : « D’impunité policière ».
Le deuxième bobard est celui du silence autour des quatre morts liées directement aux émeutes. Là où la presse a consacré près de 340 articles à la mort de Zyed et Bouna, on ne compte que 16 articles au total faisant état de la mort de Jean-Jacques Le Chenadec, frappé à mort en bas de chez lui, de Salah Gaham, asphyxié lors d’un incendie volontaire, d’Alain Lambert, asphyxié lors d’un incendie volontaire, de Jean-Claude Irvoas, battu à mort devant sa famille. Le troisième bobard concerne l’identité des meurtriers de Jean-Claude Irvoas et sur leurs origines.
Conscients de la menace que représentent les faits pour le dogme immigrationiste, les médias ont menti, prétendant que quatre des cinq agresseurs étaient d’origine européenne. Parmi ces agresseurs on retrouve un franco-congolais, un franco-algérien, un franco-sénégalais et un antillais. Ce triple bobard a la vie dure puisque cette année, c’est Etienne Baldit, journaliste au Lab d’Europe 1 qui est candidat au Bobard d’Or pour son traitement de l’affaire 10 ans après.
Source : Boulevard Voltaire
La « stratégie minoritaire » utilisée comme un talisman, un passe-droit, permet d’insulter une civilisation.
La tendance actuelle sur le Net, notamment via les #whitepeoplebelike ou les #babtousfragiles, est de se moquer des Blancs, de leurs goûts, leurs habitudes, leurs façons d’être et de penser. Ce qui correspondrait à du racisme pour une catégorie ne s’applique pas à une autre… Tacler un Blanc pour sa couleur, ce n’est pas du racisme, c’est de la contestation de privilèges !
Le professeur Nelly Quemener, maître de conférences à Sciences Po Paris, nous l’explique : « S’il y a une forme de stéréotypisation des Blancs, est-ce du racisme pour autant ? Nous ne sommes pas sur une même forme d’exclusion. Les Blancs ne sont pas exclus de la société […] Il s’agit davantage, selon moi, d’une stratégie minoritaire de mise en abîme des positions de pouvoir. »
Remplacez "babtous" par "négros" et envoyez à @SOS_Racisme pour voir…#SiLesBlancsParlaientCommeLesNoirs pic.twitter.com/jOStLYu7w0
— Sarah F. (@adroitetoutes01) February 17, 2016
10/02/2016 – EUROPE (NOVOpress)
Plusieurs enquêtes pour incitation à la haine raciale de la justice allemande contre des défilés de carnaval. Les Allemands résistent encore à la censure du politiquement correct, comme le montre ce florilège de chars de carnaval.
Alors que l’année dernière plusieurs chars se moquaient ouvertement du politiquement correct comme ici à Dusserdorf où des barbus proclamaient comme les 3 singes que le « terrorisme n’a rien à voir avec la religion », le ton a bien changé cette année et la répression arrive en force sur une période où la liberté totale était encore la règle il y a un an.
'Terror hat nichts mit Religion zu tun.' #helau #carnival #düsseldorf pic.twitter.com/QbpeKYdlJ9
— Futterqueen (@Genussgier) 16 Février 2015
À Solingen, une ville de Rhénanie, un char de carnaval représentant un u-boot N° U -96 (le même rendu célèbre par le film Das Boot), portant sur le côté ce message sans équivoque, « Ils doivent se battre pour leur patrie au lieu de toucher nos femmes » — une référence directe aux agressions sexuelles massives menées par des immigrants illégaux depuis leur arrivée en Allemagne durant 2015.
@thoefer @BeckerRonnie @danielmack @dunjahayali Karneval Solingen pic.twitter.com/Hya2aTfAI7
— Uwe Wolff (@UweWolff966) 7 Février 2016
Dans la ville de Ilmtal, dans leThuringe, un char transformé en tank de la Seconde Guerre mondiale portait le message Ilmtaker Asylabwehr (« défense d‘Ilmtal contre les demandeurs d’asile ») sur un côté et « Package Asile III » sur l’autre en référence au « nouveau plan » du gouvernement d’Angela Merkel qui tente d’endiguer cette arrivée incontrôlée d‘immigrants.
Gesehen von @flosimbeck beim Karneval im Ilmtal #Bayern: "Die Leute jubeln und applaudieren" für Asylabwehr-Panzer pic.twitter.com/aTHPFvTnnz
— Alexander Fröhlich (@alx_froehlich) 7 Février 2016
À Düsseldorf un char du carnaval représentait le président turc Erdogan trinquant avec un combattant de l’État islamique (IS) pour fêter leur alliance contre les Kurdes, au moment où l’Union Européenne va débloquer des milliards pour financer la Turquie dans sa lutte contre l’EI.
The Usual Suspects I
#Erdogan #Türkei #Rosenmontag #Karneval #Düsseldorf
Der ganze Jaques #Tilly – #AlleWagen pic.twitter.com/RzM2q5N9Zh— Ddorf CogitoErgoBums (@CogitoErgoBums) 8 Février 2016
À Wasungen nous avons le « Balkan Express », en référence aux milliers d’immigrants qui ont débarqué cet été dans la gare de Munich avec devant le message Die Plage kommt « : “la peste arrive” entouré de fêtards déguisés en sauterelles comme dans la Bible.
Nach Strafanzeige ist "Balkan Express" beim #Karneval in #Wasungen Fall für Staatsanwalt: https://t.co/Tukmxk60wx pic.twitter.com/PQg3TF4Js4
— MDR THÜRINGEN (@mdr_th) 8 Février 2016
„Die Plage kommt“: #Karneval-Wagen aus #Wasungen wird Fall für Staatsanwaltschaft. https://t.co/VRa2IisV8v pic.twitter.com/vVDrhG5dEX
— LVZ-Online.de (@lvzonline) 8 Février 2016
09/02/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)
Selon une analysée publiée hier par Le Parisien, pas moins de 200 000 messages d’insultes et de haine sont déversés chaque jour sur Facebook, Twitter et autres réseaux sociaux, ainsi que dans les commentaires des sites de journaux nationaux. Un phénomène qui contribue à la banalisation de la violence et à l’exacerbation des rapports sociaux.
Source : OJIM
Les chemins de la bien-pensance sont sévèrement balisés. Croyant bien faire et dénoncer les « stigmatisations », le JDD vient d’en faire l’expérience avec un sondage qui suscite la polémique.
Dans son édition du dimanche 31 janvier 2016, l’hebdomadaire consacre une double-page à « la grande peur des juifs de France ». Dans le dossier, plusieurs sondages viennent illustrer le propos, dont une question qui n’est pas passée inaperçue : « Vous-même, au cours de l’année, avez-vous personnellement rencontré des problèmes (insultes, agressions…) avec une ou plusieurs personnes issues des groupes suivants ? »
Dans les réponses, les personnes interrogées avaient le choix entre : origine maghrébine, roms, confession musulmane, origine africaine, confession catholique, confession juive ou encore origine asiatique. Une autre question interroge les sondés : « comment réagirez-vous si votre fils/fille épousait » un catholique, un musulman, etc.
Commandé à l’Ipsos par la Fondation du judaïsme français, le sondage a aussitôt déclenché la polémique, et les moqueries, sur les réseaux sociaux.
Le #JDD a publié ce sondage dimanche dernier : est-ce une forme de racisme? Votre avis au 39 21 ! #LGDM pic.twitter.com/TtYNN0Yqfl
— Le Grand Direct (@LGDM_Officiel) 2 Février 2016
Un grand merci à la Fondation du judaïsme français, à Ipsos et au JDD pour avoir produit cette horreur. https://t.co/bee2ZUGRPV
— Olivier Bénis (@OlivierBenis) 31 Janvier 2016
@xfrison @Grgrrn @leJDD Ça se passe comment? Après s'être fait insulté/agressé, on demande la religion de la personne en fait?
— Sophie Barel (@SophieBarel) 31 Janvier 2016
Dans son dossier, le JDD explique que cette « enquête hors norme » vise avant tout à dresser un portrait du « vivre ensemble » et à « combattre les préjugés ». Pour Brice Teinturier, directeur général délégué du JDD, cette étude est importante « pour faire ressortir les fantasmes ». « Il faut mesurer les choses pour les combattre et les comprendre », poursuit-il avant d’expliquer qu’il s’agissait avant tout de « mettre en évidence les tensions à l’égard des minorités ».
Source : Boulevard Voltaire
« L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante », écrit le Préfet Lambert pour interdire la manifestation du 6 février à Saint-Brieuc…
« L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante », écrit le préfet Lambert pour interdire la manifestation du 6 février à Saint-Brieuc…
Dans notre belle République française sous gouvernement socialiste, l’arbitraire semble être en vogue chez les représentants de l’État que sont les préfets. On se souvient du préfet de police de Paris qui a lancé ses policiers contre les paisibles manifestants LMPT. Un peu plus tard, c’est le préfet de l’époque, Pierre de Bousquet, qui tentait d’arracher son discours des mains du maire de Beaucaire, Julien Sanchez, pour l’empêcher de parler. On a aujourd’hui Pierre Lambert, préfet des Côtes-d’Armor, qui vient d’interdire la manifestation que PEGIDA avait souhaité organiser contre l’islamisation et l’immigration.
02/02/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)
Scène de la vie quotidienne en France. De même que les actes christianophobes ne méritent pas l’attention des médias et des politiques (voir ici, ici ou là), le racisme anti-blanc est systématiquement nié. Normal, me direz-vous, pour nos « élites », seul le Français de souche — qui n’existe pas — est raciste.
Le Mans (72) : ils chassent les blancs, la justice ne les poursuit pas pour racisme (MàJ) https://t.co/jdCL3iGqrq via @f_desouche
— Pierre 1er (@pierre_1er) February 2, 2016
31/01/2016 – EUROPE (NOVOpress)
En Italie, un curé a dénoncé le racisme dont sont victimes… les Italiens, défavorisés par rapport aux clandestins.
Un curé qui s’indigne de la préférence étrangère et a le courage de protester publiquement, voilà qui n’est pas courant. L’altercation, devant les caméras de la chaîne régionale Telenorba, entre le maire de Tarente, dans les Pouilles, Ippazio Stefano, et le curé de la paroisse du Sacré Cœur, l’abbé Luigi Larizza, a donc fait sensation en Italie.
Il faut dire que le maire, qui appartient au petit parti ultra-immigrationniste SEL (Gauche, écologie et liberté), a hautement affiché ses prédilections. D’un côté, il est allé en grande pompe apporter des croissants chauds aux immigrés clandestins dans leur centre d’accueil. De l’autre, il n’a toujours rien fait pour douze familles italiennes de la ville (environ quarante personnes), devenues SDF depuis l’effondrement de leur immeuble, il y a quinze jours, et réduites à dormir sous un porche, dans l’attente d’un relogement.
Le curé, qui avait passé la nuit sur le parvis de l’église avec les SDF italiens, est donc allé voir le maire dans son luxueux bureau de l’Hôtel de Ville et l’a vivement apostrophé, après lui avoir rappelé ses croissants aux clandestins : « C’est de la discrimination raciale au détriment des citoyens italiens ». Le maire tente de le culpabiliser : « Vous parlez un langage qui vraiment me bouleverse, par rapport à votre mission ». Et il a recours à l’habituel canard immigrationniste : les clandestins sont « des enfants qui fuient la guerre et la torture ». Mais le curé ne se laisse pas intimider : « Je parle l’italien et je dis la vérité. Démissionnez de votre mandat de maire ! »
Comme on pouvait s’y attendre, l’archevêque de Tarente a immédiatement désavoué le courageux curé dans un communiqué : « Il n’y a aucun doute que ce qui est arrivé déforme l’attitude de charité du diocèse qui ne voit devant lui que les pauvres, sans distinctions éthiques [sic, pour ethniques ?] et religieuses. Cela se vérifie aisément dans l’activité quotidienne des sections paroissiales de la Caritas [le Secours catholique italien] et des associations. Tarente est une cité accueillante et généreuse. Nous continuerons dans l’assistance aux pauvres et dans l’accueil de ces frères [immigrés clandestins] qui fuient la guerre et la famine ».
Une illustration de plus de l’opposition fondamentale, dans toute l’Europe, entre le catholicisme des gens et celui des prélats, fauteurs de l’invasion.
22/01/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Isabelle Kersimon, auteur du livre Islamophobie : la Contre-Enquête dénonce les chiffres falsifiés du collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). En effet, il semble que le rôle de ce collectif soit « D’alimenter le sentiment de persécution des musulmans par les non-musulmans et de faire entériner le concept d’islamophobie pour imposer l’interdit de “diffamer les religions, surtout l’islam”. Cette affirmation de la journaliste suit la déclaration de Bernard Cazeneuve qui affirme que les actes antimusulmans ont triplé en 2015. Le porte-parole du CCIF évoque des chiffres beaucoup plus élevés, ce qui semble étrange.
Mais qu’est-ce qu’un acte islamophobe pour le CCIF ?
Une question posée à une jeune femme voilée pendant un entretien à l’ANPE, des infractions relevant du simple droit commun, des propos jugés insultants voire des expulsions de prédicateurs violemment antisémites et appelant au djihad contre l’Occident : voilà ce qu’est un acte islamophobe selon le collectif. Le CCIF voudrait accréditer la théorie selon laquelle l’islam serait plus touché que les deux autres religions monothéistes. On assisterait ainsi à une sorte de “concurrence victimaire”.
Qu’advient-il des Chrétiens et des Juifs ?
La journaliste constate que les chiffres sont aveugles et ne prennent pas en compte la gravité des infractions, toutes mises sur un même pied d’égalité. Le ministre de l’Intérieur note que les attaques antisémites ont diminué de 5 % en 2015. En revanche, les attaques chrétiennes ont augmenté de 20 % et les chiffres n’ont pas été falsifiés ! Derrière ces statistiques et ces mensonges se cache cependant une réalité inquiétante : l’État est incapable de répondre aux attaques antireligieuses quelles qu’elles soient et trouve pour seule réponse une laïcité utopique.
"#islamophobie ": « Les chiffres du #CCIF pour imposer l’interdit de diffamer l’#islam » https://t.co/S2GCjo9qxI pic.twitter.com/HVD5CHRKAM
— Damare (@ansaldo77) January 21, 2016
bien raisonné? pic.twitter.com/T74mpmkEgG
— Mina Rigalon (@MRigalon) January 20, 2016
Source : OJIM
Dephine Ernotte, la nouvelle présidente de France Télévisions élue dans la tourmente, trouvait qu’il y avait trop « d’hommes blancs de plus de 50 ans » sur les chaînes de l’audiovisuel public et voulait colorer un peu tout ça. Mais cela ne signifie pas que la cause de la diversité se porte mieux sur les médias qu’elle préside.
En effet, fin décembre dernier, l’association France Télés Diversité, qui assurait la promotion de personnes issues de la diversité et combattait les discriminations sur les chaînes de l’audiovisuel public, annonçait la fin de ses activités. Elle avait été créée il y a 7 ans. Dans une lettre ouverte mise en ligne par la CGC-Médias sur son blog, l’association, qui disposait d’un bureau et d’une adresse mail dédiée, expliquait les raisons qui l’avaient amenée à mettre fin à ses activités.
Dernier épisode en date, après avoir supprimé notre bureau et notre adresse mail FTV, “perdu” notre armoire de dossiers confidentiels, nous subissons la censure systématique de tous nos communiqués mails. Face à ce harcèlement qui touche aussi les responsables de notre association dans leur travail au sein de France télévisions, nous avons fait le choix de clore définitivement France Télés Diversités.
L’association fustige aussi « l’ambiance de peur qui règne sur le groupe », peur alimentée selon elle par les nombreux et réguliers départs de dirigeants, ainsi que les nombreux scandales qui ont été découverts ces derniers mois, de l’élection tourmentée de Delphine Ernotte aux frais de bouche en passant par la dégradation très nette de la situation financière du groupe – sauvé par l’État qui a remis au pot – et l’affaire du fichage illégal des salariés qui entame désormais son volet judiciaire.
18/01/2016 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Une nouvelle directive interdit désormais à la police suédoise de décrire les criminels. L’interdiction va du simple vol aux crimes violents. La note s’en réfère aux critiques concernant les communiqués de la police sur la couleur de peau des délinquants et des criminels. Ce serait considéré comme raciste. D’après la directive la police n’étant pas raciste, elle n’a désormais plus le droit d’indiquer la race. On peut douter de la pertinence de la mesure pour sécuriser le pays.
La police suédoise interdite dorénavant d’indiquer les origines ethniques des criminels https://t.co/Ou6RsR67m0 via @f_desouche
— Maurier-Notin (@MaurierNotin) January 18, 2016
Si la police suédoise ne peut plus dire d'un noir qu'il est noir, elle devra caviarder les PV des agents qu'il aura traités de sales blancs.
— Christian Combaz (@christiancombaz) January 18, 2016
La police suédoise ne décrira plus les suspects pour ne pas sembler raciste.Paradoxe: cette consigne=préjugé raciste https://t.co/z35YnHCWwp
— A.ن delaRochère (@AD_LR) January 17, 2016
14/01/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)
Libération a publié la semaine passée le résultat d’une vaste enquête faite de l’I.N.E.D, indiquant que 60 % des personnes originaires d’Afrique subsaharienne ont été victimes de racisme contre 15 % des « Blancs ».
Ces chiffres a priori éloquents méritent toutefois une lecture approfondie : environ 55 millions de « Français de souche » et 10 millions de Français d’origine « extra-européenne » vivent en effet dans l’hexagone.
Il y a donc 6 millions : 60 % de 10 millions. d’immigrés et 8,25 millions de « Blancs » : 15 % de 55 millions. qui ont été victimes de racisme.
Mais il ne faut pas oublier que, dans un acte raciste, il y a deux personnes : la victime et celui qui la harcèle. Or, le nombre d’actes racistes rapporté au nombre de « Blancs » est de 11 % : = 6/55ème. Le même chiffre pour les immigrés donne 82,5 % : = 8.25/10e. Mathématiquement, les immigrés commettraient donc, selon ces chiffres, 7 fois plus d’actes racistes que les Blancs !
Selon une étude #INED publiée par #Libération, les immigrés commettent 7 fois plus d'actes racistes que les Blancs. https://t.co/DEh0HMa20T
— Réinformation (@ReinformationRC) January 13, 2016
Ined/immigration : pourquoi ils se sentent Français mais ne sont pas perçus comme tels https://t.co/IrcuEBgSTp
— Fdesouche (officiel) (@F_Desouche) January 13, 2016
Le « racisme anti-blanc » moins grave que le « racisme » envers « d’autres », selon l’INED https://t.co/VSWqxb1EW8 via @NS2017
— CHIENDENTooo002 (@tooo002) January 13, 2016