«Éric Zemmour au Mont Saint-Michel, ou l'audace du sacré en politique» https://t.co/7W3Fc7UqfB par @Benedetti65
— FigaroVox (@FigaroVox) February 21, 2022
«Éric Zemmour au Mont Saint-Michel, ou l'audace du sacré en politique» https://t.co/7W3Fc7UqfB par @Benedetti65
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28/02/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Du Mont Saint-Michel, Marine Le Pen en a appelé, hier, au « génie du renouveau », lançant notamment :
« Nous sommes les héritiers d’une grande civilisation. Nous devons redevenir une nation de sentiments, une nation de cœur, une communauté de destin : nous avons la fierté d’être français et le désir de le rester ! »
30/01/2017 – FRANCE (NOVOpress)
Qui ne connaît pas le Mont-Saint-Michel et sa rue principale, habituellement noire de touristes ? Or sous les pavés se cachait une nécropole datant du Moyen Age. Elle a été découverte lors de travaux de canalisations qui ont commencé en novembre dernier.
Les archéologues de l’INRAP (l’Institut national de recherches archéologiques préventives) ont alors pris la relève des ouvriers. Les fouilles se terminent des jours ci.
Les archéologues ont dénombré 30 sépultures d’adultes mais aussi d’enfants. La datation au carbone 14 et des recherches plus poussées permettront d’en apprendre plus sur ces squelettes et sur leurs conditions de vie.
Mont Saint-Michel : des archéologues découvrent une nécropole médiévale… et une légende resurgit ! https://t.co/IUC8lAYG7p pic.twitter.com/22j8IyftfL
— Libre Actus (@libreactus) 30 janvier 2017
Source : Capital.fr – À force de faire payer cher des prestations médiocres, la fréquentation touristique du joyau normand a fortement baissé. Visite (non) guidée.
« Scandaleux », « honteux », « une arnaque »… : quand il s’agit de donner leur avis sur La Mère Poulard, le célèbre hôtel-restaurant du Mont-Saint-Michel, les clients n’y vont pas avec le dos de la cuillère. Sur TripAdvisor, les commentaires cinglants dominent à un niveau tout à fait inhabituel. « Quand on compare avec des sites touristiques équivalents, le Mont est vraiment mal noté, assure Thomas Yung, expert en e-réputation hôtelière. Il est bien au-dessous de la moyenne.»
La reine de l’omelette serait-elle victime d’une cabale ? Pour en avoir le cœur net, nous sommes allés vérifier par nous-mêmes en séjournant un week-end de mai dans ce trois-étoiles. Ici, la nuit seule est affichée à 280 euros. A-t-on au moins vue sur la baie, pour ce tarif ? Hélas non, chambre sur cour. Un confort exceptionnel ? Pas du tout, la décoration est sans charme, la salle de bains défraîchie. Un service aux petits soins, alors ? Nous avons guetté en vain un bagagiste pour nous aider à monter notre valise, traînée sur des centaines de mètres depuis le parking. Et le soir venu, après avoir gravi les 350 marches qui mènent à l’abbaye, nous n’avons pas davantage pu prendre un dernier verre au bar de l’hôtel. A 22 heures, il était fermé. Pour que la déception soit totale, le petit déjeuner – pourtant inclus dans la réservation – nous a été facturé 25 euros par personne. Le tout pour un modeste buffet.
Avec de telles prestations, indignes d’un tel site, pas étonnant que la fréquentation du rocher normand ait dégringolé, passant de 3,5 millions de visiteurs il y a dix ans à 2,2 millions l’an passé. Les Japonais, estimés à 300 000 par an jusqu’à une date récente, se font désormais plus rares dans les ruelles escarpées du village. Les restaurateurs déplorent une baisse de 20 à 30% de leur chiffre d’affaires depuis 2012, comme à la crêperie du Chapeau rouge, si l’on en croit sa patronne, Nadine Payen. Et tous s’inquiètent de voir leur pactole – le business total du Mont est estimé à 80 millions d’euros par an – se perdre dans la brume. S’ils écoutaient déjà leurs clients, ça irait un peu mieux. «Bien sûr, c’est un endroit extraordinaire, mais les commerçants abusent franchement, c’est un vrai piège à touristes», peste ce couple de retraités venu de la région parisienne et croisé à la sortie d’un restaurant. «On sait qu’un site touristique, c’est souvent cher, mais là, c’est écœurant», ajoute cette famille d’Ajaccio, déçue d’avoir payé 27 euros l’entrée à un musée où ne s’entassent que trois bibelots poussiéreux.
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Crédit photo : afloresm via Flickr (cc)
L’aube se lève sur la baie du Mont Saint-Michel. Source et crédit : 500px.com/photo/8810583
13 siècles entre ciel et mer… « Le Mont Saint-Michel apparaît comme une montagne circulaire qui semble s’affaisser sous la pyramide monumentale qui la couronne. On voudrait prolonger sa cime en une flèche aiguë qui monterait vers le ciel (la flèche actuelle ne date que de 1899), dominant son dais de brouillards ou se perdant dans une pure et chaude lumière. De vastes solitudes l’environnent, celle de la grève ou celle de la mer, encadrées dans de lointaines rives verdoyantes ou noires. » Édouard Le Héricher, extrait de L’Avranchin monumental et pittoresque, 1846.
Crédit photo : aigle_dore via Flickr (cc)