05/02/2015 – NICE (NOVOpress)
Même enfance dans une cité ethnique. Même passé de délinquant multirécidiviste. Même haine de la France. Même basculement dans le djihadisme… Emblématique à plus d’un titre, le cheminement de Moussa Coulibaly nous rappelle dramatiquement que notre pays, parce qu’il produit en masse depuis des années des islamo-terroristes dans ses banlieues abandonnées à l’immigration, est aujourd’hui tout particulièrement en danger.
Ne pas tomber dans la psychose ?
« Il ne faut pas tomber dans la psychose », expliquait naïvement le rabbin Teboul, du Consistoire israélite de Nice. Naïvement, parce que Coulibaly est très loin d’être un cas isolé en France. Il a suivi le même cheminement que les Merah, Nemmouche et autres islamo-terroristes que notre pays a lui-même produits à force d’immigration, de laxisme judicaire et de capitulations devant l’islam.
Né en 1984 dans une famille malienne polygame de Mantes-la-Jolie, l’homme a grandi dans la poudrière ethnico-religieuse du Val-Fourré. Comme nombre des « jeunes » qu’il y a côtoyés, il a été condamné à de multiples reprises sans jamais aller en prison. Puis est venu le temps de l’islam. Il a alors fréquenté assidûment la mosquée de Trappes, bien connue pour être un foyer de radicalisation islamiste, et a fini par être repéré en décembre grâce à un signalement effectué par les responsables de la salle de sport qu’il fréquentait, et où il faisait preuve d’un « prosélytisme agressif ».Bien que surveillé, Coulibaly a pu quitter la région parisienne, et n’est réapparu qu’en janvier à Ajaccio. Là encore, c’est un employé d’agence de voyage qui a donné l’alerte après que l’homme lui eut demandé un aller simple pour Ankara. La DGSI devait alors demander à Ankara de le refouler à l’entrée du territoire turc. Interpellé à Nice lors de son retour, il sera relâché faute d’éléments probants, et s’installera dans un hôtel, où les enquêteurs ont retrouvé une prière à Allah écrite de sa main.