Source : Les Identitaires – « Les Européens n’ont pas à subir les bidonvilles «
Il paraîtrait que les camps de clandestins qui, après Calais et Grande-Synthe, vont se multiplier sur l’ensemble du territoire Français, sont destinés à durer. Qu’ils sont inévitables. Qu’il faut nous habituer à vivre avec et même les prendre en compte dans le développement de nos villes.
La Jungle, futur quartier calaisien ? Avec ses bars branchés, son restaurant, ses mosquées ? C’est inévitable, on vous dit ! Impossible de l’empêcher, alors autant l’organiser. Le gérer. Pour que ça se passe au mieux.
Mais les populations autochtones pendant ce temps ? Qui leur demande leur avis ? Qui se soucie de leurs intérêts ?
Personne, assurément. Car l’intérêt des Européens, c’est bien de voir ces camps démantelés et leurs occupants expulsés. Regardons plus en détail.
S’il faut gérer et organiser les camps de migrants clandestins, il faut fournir aux occupants de ces camps un certain nombre de services élémentaires : eau courante, chaude et froide ; tout-à-l’égout ; électricité ; accès aux infrastructures de santé. Bref, des investissements importants, et un coût de fonctionnement conséquent.
Or, les clandestins peuplant ces camps sont, chacun le sait, des gens miséreux. Ils n’ont aucun revenu, leur épargne éventuelle a été siphonnée par les passeurs, leur famille ne peut leur envoyer d’aide financière. Sauf rares exceptions, ils n’ont pas de compétences à haute valeur ajoutée, et ne pourront au mieux occuper que des emplois précaires et très mal payés.
Bref, l’ensemble de la facture sera à la charge des pouvoirs publics, c’est-à-dire des Européens, qui paieront soit en voyant leurs impôts augmenter, soit en subissant une baisse de la qualité des services publics et des prestations sociales.