24/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
Le grand remplacement n’est ni une idée, ni même un concept. Ce n’est pas davantage un slogan politique ou ce que Bernard CAZENEUVE me répondit un jour être un fantasme.
Ce grand remplacement est une réalité concrète et donc par essence, un enjeu politique primordial.
C’est d’ailleurs bien le mérite de vos Assises de la remigration que d’affirmer plus avant les contours de cette réalité. Nos adversaires, les remplacistes, usent de toutes les ruses pour en dissimuler et même pour en interdire le constat.
Chacun connaît leurs antiennes : il n’y aurait pas en France davantage d’étrangers qu’avant, refuser de réputer a priori Français un individu qui se singularise par d’autres traditions est raciste. Pire, affirmer que la France est une civilisation nous ramènerait aux heures les plus sombres de l’Histoire.
Certains d’entre nous s’interrogent alors : faut-il que la caste politique soit unanimement mensongère pour nier ainsi ce que le bon sens populaire déplore.
Faut-il que nous ne soyons dirigés que par des parias pour qu’ils fassent de communautés disparates et d’une nationalité de papiers l’horizon d’un pays millénaire ?
Faut-il que la maladive lâcheté ait ankylosé jusqu’aux hommes de bonne volonté pour qu’il nous faille désormais tenir notre rang contre tous les anathèmes en défendant l’intégrité de la France ?
Cessons un instant de demeurer interdit devant les crimes des idéologues. C’est leur faire à la fois trop d’honneur et trop de place. C’est ignorer enfin un message essentiel sis dans la belle énergie que je remarque chez vous cet après-midi : la vérité rend libre.
Or c’est dire vrai que de répéter que la France ne peut plus tolérer le grand remplacement. Une fois assumé enfin ce point de départ, deux exigences se font jour : la première c’est celle de la lutte politique, puisqu’il n’est pas possible d’admettre le grand remplacement sans s’employer alors à le combattre dès à présent.
Lire la suiteAssises de la remigration : le discours de Jacques Bompard