20/09/2011 – 14h30
PRESTON (NOVOpress) – Il est difficile d’imaginer des combats d’enfants, âgés de 9 et 8 ans, enfermés dans des cages au milieu d’un public d’adultes. Ces affrontements existent pourtant bel et bien et ils sont organisés au Greenlands Labour Club de Preston au Royaume Uni où ils attirent des foules d’amateurs issus des couches populaires anglaises.
Dans cet article paru dans le Daily Mail, le journaliste Jaya Narain présente les faits aussi objectivement que possible. Elle explique que les enfants sont accompagnés par leurs parents et qu’ils pratiquent ce sport de combat depuis l’âge de cinq ans.
Si la réaction des professionnels de la charité et de la bien-pensance est prévisible, ils sont résolument contre, cette pratique sportive, très spectaculaire, trouve peu de défenseurs.
Que des jeunes garçons aiment se battre les uns contre les autres est inscrit dans notre patrimoine génétique. Sans ce goût pour la violence, la pratique sportive en général n’existerait pas. Il suffit de regarder une école de rugby un samedi matin pour comprendre que la pratique de ce jeu fait appel au goût des jeunes enfants pour le combat en l’encadrant dans des règles et un esprit sportif rigoureux.
En revanche, l’exhibitionnisme associé à des combats d’enfants dans des cages est choquant comme peut l’être celui des combats de nains ou de femmes dans la boue. Les enfants ne sont pas à blâmer, mais plutôt ceux qui s’amusent en les regardant s’affronter derrière des barreaux.