D’après l’article 1er de la constitution, « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. » Un article 1er qui vaut pour tout un chacun sauf… les musulmans ? Le 8 mai 2021, ils vont commémorer la « nuit du destin », leur principale fête religieuse, en l’honneur de la nuit où Mahomet aurait reçu les paroles du Coran, dont certaines en appellent au massacre des « infidèles » et des « mécréants », passages qui sont la source du terrorisme musulman islamiste ensanglantant la planète.
L’islam est à ce point omniprésent qu’il entraîne des comportements de compromission récurrents et le non respect des lois de la République. Les exemples quotidiens sont trop nombreux pour être tous cités, entre délinquance ethnique – mais il ne faut pas le dire –, femmes voilées refusant de parler français lors d’un rendez-vous dans un établissement scolaire, menus aménagés dans les collectivités publiques, salles de prières dans les salons ministériels lors des rencontres avec les responsables du culte musulman, ou arabe parlé à foison dans les rues et les bâtiments d’un pays dont la constitution affirme pourtant aussi que « Le français est la langue de la République », ce pourquoi elle devrait être « une et indivisible ».
Des compromissions à venir ? Mardi 4 mai 2021, le Conseil d’Etat examinait la demande d’exception à la règle du couvre-feu pour les musulmans, en vue de célébrer la « nuit du destin ». Le recours juridique a été déposé par la Grande Mosquée de Paris. Une dérogation qui donnerait un paysage urbain surréaliste en France avec des rues dans lesquels seuls des musulmans pourraient se promener le soir et se réunir, pour prier ou non. Ce que veulent les musulmans ? Rien de moins qu’une « dérogation nationale » afin de pouvoir se rendre à la mosquée de 21 heures à 2 heures du matin, ce qui on s’en doute sera aisé à vérifier, d’autant que la nuit en question est en général aussi l’occasion de fêtes. L’argument principal de Chemseddine Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris, après le refus du ministre de l’Intérieur en date du 28 avril ? « C’est une étape normale de demander l’arbitrage du juge (…) nous sommes en phase de déconfinement avec une situation fragile certes mais un indéniable mouvement de recul de l’épidémie. » Il précise : « la liberté de culte inclut parmi ses composantes essentielles le droit de participer collectivement à des cérémonies, dans les lieux de culte. »
Notons que le 29 mars 2021, plusieurs associations catholiques avaient demandé au Conseil d’Etat de pouvoir célébrer les offices nocturnes de la Semaine Sainte, ce qui fut retoqué. Malgré des apparences qui trompent nombre de nos concitoyens, l’imposante présence de l’islam en France n’est pas chose normale et sort du cadre de notre civilisation. Si le Conseil d’Etat venait à accorder aux musulmans ce qu’il refuse aux catholiques, alors cela confirmerait combien les risques présentés par les divers textes et rapports de militaires sont dans le vrai. Cela montrerait aussi à quel point la société s’islamise.
Paul Vermeulen
Article paru dans Présent daté du 5 mai 2021