20/01/2020 – FRANCE (NOVOpress)
Ce chiffre découle d’une cartographie effectuée suite à une demande début janvier de Christophe Castaner à l’issue de l’attentat islamiste de Villejuif.
Selon le journal du dimanche, qui a relayé l’information, on trouve dans les quartiers concernés au delà des banlieues des plus grandes agglomérations de France plusieurs cités du Nord, ainsi que certaines zones en Haute-Savoie, dans l’Ain et en Eure-et-Loir.
Outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, depuis longtemps touchées par le phénomène, y figurent plusieurs cités du Nord : entre autres Maubeuge, où l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a atteint 40% dans un bureau de vote et où “la situation est alarmante” ; l’agglomération de Denin ; ou encore Roubaix, où, “bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes”, selon un préfet. Mais aussi des zones plus inattendues, comme en Haute-Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou Bourgoin-Jallieu. Encore plus surprenante, “l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables”, poursuit ce préfet, comme Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir.
Les élites savent mais elles tiennent tout caché: la DGSI a listé 150 quartiers sous l'emprise de l'islam radical.
Mais évidemment avec interdiction de diffuser le document.
La DGSI parle carrément de salafisation dans des villes moyennes comme Maubeuge, Oyonnax, Bourgoin, etc. pic.twitter.com/vhMwZsWdmB— Olivier Marteau (@MarteauOlivier) January 19, 2020
JDD 19/01/2020 la DGSI a listé 150 quartiers en France sous l'emprise de l'islam radical, le gouvernement doit présenter un plan de lutte avant les municipales mais entre impréparation de l'Administration et risque de stigmatisation des musulmans, la tâche se révèle délicate… pic.twitter.com/88Sb3EDAWJ
— Sylvie Fourcade 🌺 (@sylviefourcade) January 20, 2020