01/06/2018 – FRANCE (NOVOpress)
Nous avons déjà parlé du problème des « revenants », ces musulmans partis faire le djihad en Syrie et Irak, et de retour sur le territoire national, constituant autant de bombes à retardement mettant en danger des centaines voire des milliers de vies françaises.
Le procureur François Molins vient d’évoquer le problème des « sortants », ces musulmans condamnés pour terrorisme, qui auront d’ici peu purgé leur peine, et qui seront donc libérés. Soit 25 personnes en 2018, 17 en 2019, et 22 en 2020, et 47 chaque année de 2021 à 2023.
Une réalité effrayante face à laquelle les autorités de la République semblent être totalement démunie. Le procureur Molins a ainsi évoqué sans convaincre une « surveillance accrue ».