Il y a quelque temps que je n’ai pas parlé de François Grosdidier, maire LR de Woippy jusqu’à l’an dernier, ville où sa dhimmitude s’est vautrée jusqu’à l’indécence. Aujourd’hui sénateur de Moselle, il nous la joue Messin sans frontières…
En duo avec la conseillère Colin-Oestrelé, Grosdidier fait déjà campagne pour les municipales de 2020 à Metz. A Woippy, il s’était vanté d’être le seul maire de France à avoir construit une mosquée et une école coranique payées à 100% par l’argent public. Une mosquée avec, sur le terrain communal, une place de stationnement « réservée à l’imam ». Une mosquée avec une entrée principale réservée aux hommes, les femmes devant passer par une petite porte à l’arrière du bâtiment. Une rue de mosquée où la mairie dhimmitesque a financé et installé des lampadaires orientaux surmontés du croissant islamique.
On rappellera que ce Grosdidier est favorable au port du voile, aux menus communautaristes dans les cantines scolaires et qu’il a pour l’importante communauté turque du coin les yeux de Shéhérazade.
Aujourd’hui, il publie sur sa page Facebook le projet de grande mosquée à Metz, projet qu’il soutient et porte avec diligence bien sûr. Ce qui fait dire au sénateur Jean-Louis Masson, qui a toujours été indépendant et courageux, lui : « En souhaitant financer le projet de grande mosquée à Metz avec l’argent des contribuables, il reste dans la même démarche électoraliste. Le communautarisme est un ferment de division et d’affrontement. Ce n’est rendre service ni aux Messins ni aux musulmans que de l’exacerber de la sorte (…). Metz ne doit pas devenir un Molenbeek-sur-Moselle. Ce sera l’enjeu du second tour des municipales de 2020 à Metz. A droite comme à gauche, la priorité sera de faire barrage au communautarisme. ».
Le bulletin Perspectives municipales : objectif 2020 à Metz publie la photo de deux élus dhimmitisés habillé en turcs sur fond du drapeau du régime islamiste du sanglant Erdogan ! Avec ce commentaire : « S’ils ne sont pas élus à Metz, ils pourront toujours aller se présenter à Istanbul. » Ankara s’ils sont en carafe…
Le même bulletin souligne : « Plutôt que d’engloutir l’argent des contribuables dans la construction d’une mosquée, plutôt que d’organiser l’apprentissage de l’arabe dans les écoles primaires, il faut concentrer les moyens disponibles pour aider les jeunes gens des quartiers à apprendre le français, à s’insérer dans la société et à acquérir une formation professionnelle conduisant à l’emploi. »
Mais le clientélisme a ses raisons que le patriotisme ne connaît pas. Lénine disait grosso modo : « Les capitalistes sont si bêtes qu’ils finiront par nous vendre la corde pour les pendre. » Les élus dhimmis sont tellement avides d’être réélus qu’ils vendent leur âme – ce dont on se moque un peu – mais surtout, et cela nous concerne, l’identité de notre pays, fourriers du Grand Remplacement qu’ils ont choisi d’être.
Après les attentats de Paris, on a beaucoup parlé de Molenbeek. Des Molenbeek, il y en a des dizaines, peut-être des centaines, en France. On parade armé et on tient en joue avec des AK-47 des policiers à Marseille, la cité phocéenne est devenue une large zone de non-droit, des CRS sont tabassés et dépouillés à Grenoble, les attaques contre les forces de l’ordre sont quotidiennes. Régler – et définitivement – ces « problèmes » nous semble plus urgent que d’aller construire une mosquée dans la Lorraine de Lyautey et de Barrès…
Alain Sanders
Article paru dans Présent daté du 29 mai 2018