02/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Un collectif féministe a signé la semaine dernière une pétition ethnomasochiste dans le journal de gauche Libération. Les féministes s’opposent à la pénalisation du harcèlement de rue !
De nombreuses femmes se plaignent d’insultes, de drague lourde ou menaces commises en toute impunité parce que dans un espace public : la rue ou le métro. La secrétaire d’Etat à l’Egalité Hommes Femmes, Marlène Schiappa, a donc promis un texte de loi pour pénaliser le harcèlement de rue.
Mais pour ce collectif universitaire féministe, un tel texte est répréhensible, car, « il vise les populations qui occupent (la rue), lesquelles appartiennent souvent aux fractions paupérisées et racisées ».
Toujours selon les signataires, “Verbaliser ou pénaliser le harcèlement de rue ne répondra pas aux différentes formes de contraintes sur le corps et la mobilité des femmes, dans la rue et ailleurs. Constituer une nouvelle infraction ne fera que renforcer la répression et le contrôle des hommes des catégories défavorisées. En tant que féministes et chercheur.e.s sur les violences de genre, nous nous opposons à la pénalisation d’une question liée aux droits des femmes, qui servira à désigner quelles formes de sexisme sont illégitimes, et donc à maintenir dans l’ombre celles qui, commises dans les beaux quartiers et les grandes entreprises, restent légitimes et irrépréhensibles.”
Un raisonnement fumeux qui n’est pas loin de rappeler les viols du Nouvel An 2016 à Cologne. Des centaines de femmes avaient alors été agressées, voire violées, par des migrants, et les autorités s’étaient tues pour ne pas stigmatiser des agresseurs étrangers.
Des femmes ont signer cette pétition pour ne pas dénoncer le harcèlement par peur de stigmatiser! #DossierTabouhttps://t.co/3rMsqGwUD3
— Wilfrid Coby (@WilfridCoby) 1 octobre 2017
Harcèlement sexuel: la faute au sexisme ou à l'islam ? #DossierTabou suscite à nouveau la polémique
➡️ https://t.co/vX9OQNA17F pic.twitter.com/c4hUoyjs50— RT France (@RTenfrancais) 2 octobre 2017