06/07/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Une étude conduite en Angleterre révèle que 20 % des poissons d’eau douce y sont désormais hermaphrodites. Moins agressifs et souvent désorientés, ceux‑ci ne cherchent plus à s’imposer ou à se reproduire normalement au sein de leur groupe. Comment l’expliquer ? Les pilules contraceptives, dispensatrices d’oestrogène, d’hormone femelle, échappent au retraitement des eaux et contaminent les rivières.
L’homme est également touché lorsqu’il boit l’eau du robinet. Un geste anodin qui pourrait avoir un impact décisif sur l’évolution de nos sociétés.
Il est depuis longtemps établi que le taux de testostérone, d’hormone mâle, joue un rôle majeur dans notre niveau d’agressivité. La testostérone détermine donc la capacité à répondre à une attaque et à protéger les siens.
Nos sociétés seraient-elles en train de se féminiser ? Hippocrate ne croyait pas si bien dire : en tant qu’êtres incarnés, nous sommes bel et bien ce que nous mangeons.