29/06/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Le député insoumis Danièle Obono a minimisé dans une interview les harcèlements à Chapelle Pajol, considérant que de tels actes étaient commis partout ailleurs. Quant à Caroline de Haas, elle avait suggéré un élargissement des trottoirs. Le collectif des Antigones s’est donc penché sur la question, et en est arrivé au fait que le harcèlement de rue est le produit de trois facteurs. En premier lieu, l’oisiveté du harceleur.
En effet, ces harceleurs ont le temps de rester dans la rue parce qu’il s’agit généralement d’une population qui bénéficie de minimas sociaux, et ne travaille donc pas.
Le deuxième facteur est la disparition de toute décence commune induite par une société libérale libertaire et l’indulgence des autorités de justice.
Le troisième facteur est le choc des cultures, lié à l’accroissement des communautés immigrées. Il y a donc fort à parier qu’un élargissement des trottoirs ne soit guère efficace.