02/06/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Deux « histoires d’eau » qui pourraient très mal se terminer
De la première, notre équipe du mardi vous a déjà parlé : les « jeunes » des quartiers de l’immigration s’adonnent depuis plusieurs jours à leur passe temps favori par ces fortes chaleurs : le « street pooling ». C’est ainsi que la presse de l’oligarchie qualifie cet acte de vandalisme qui consiste à ouvrir les bouches à incendie pour créer des fontaines géantes d’eau fraîche dans les rues. Caves inondées, circulation interrompue, installations électriques dégradées, plus de réserves d’eau pour faire face à un éventuel incendie, etc. : les dégâts se chiffrent en millions d’euros. A Lille, pas moins de 30 000 m3 d’eau, soit l’équivalent de la consommation quotidienne de la ville ont déjà été gaspillés.
On ne compte plus les caillassages de pompiers venus procéder à la fermeture des bouches à incendie. A Saint Denis, le 29 mai dernier, le conducteur d’un Scooteur dérape et chute dans une rue inondée. Alors qu’elle est à terre, les « jeunes » frappent violemment la victime et lui volent son scooter. L’homme sera transporté à l’hôpital, dans le coma. Quelques minutes plus tard, le « jeune » qui s’était emparé du Scooter percute un piéton, qui devra à son tour être transporté à l’hôpital, également dans un état critique.
Réaction des maires confrontés au « street pooling »
A Gennevilliers, 500 € d’amende ! On souhaite bonne chance aux policiers municipaux chargés de dresser le procès verbal. A Paris, Mme Hidalgo a décidé de doter les quartiers de l’immigration de « fontaines légères », aux frais du contribuable parisien évidemment. Mais à quoi riment ces « fontaines légères », alors que des bouches à incendie sont impunément à portée de main ?
Une deuxième « histoire d’eau », qui pourrait avoir des conséquences infiniment plus graves…
Dimanche dernier, sept individus ont réussi à s’introduire dans la réserve métropolitaine d’eau potable de la ville de Nice. Ils se sont contentés, nous ont certifié les autorités, d’y piquer une tête. Une prochaine fois, à Nice ou ailleurs, rien ne les empêche d’y déverser quelques kilos d’anthrax, par exemple. Un geste qui se traduira par des milliers de morts, ringardisant celui de ce musulman immodéré qui fit passer quelque 90 personnes de vie à trépas le 14 juillet dernier sur la Promenade des Anglais…