12/05/2017 – FRANCE (NOVOpress)
L’ancien premier ministre, dans une situation très délicate pour les prochaines législatives, apprend que la vengeance est un plat qui se mange brûlant.
“La vengeance est un plat qui se mange chaud, brûlant“, lance Éric Zemmour, qui constate qu'”Emmanuel Macron est bienveillant avec la Terre entière, sauf avec Manuel Valls, et que le Parti socialiste de Jean-Christophe Cambadélis ne veut pas mourir seul“. L’ancien premier ministre se retrouve ainsi “entre le marteau et l’enclume“, et “il est rare qu’on s’en sorte dans cette position“. Pour le journaliste, “il y a du pathétique dans l’appel au secours de Valls devant son ordinateur, pour son inscription sur le listes de candidats de La République En Marche : ‘Je clique, je clique, mais ça ne marche pas !‘”.
“Tout le monde veut la peau de Manuel Valls“, poursuit Éric Zemmour. À ses yeux, l’ancien locataire de Matignon “paie cher ses erreurs en série“, comme celle d’avoir “conceptualisé les deux gauches irréconciliables et la fin du Parti socialiste“.