03/04/2017 – FRANCE (NOVOpress)
Le « pas d’amalgame » est décidément une atteinte à la liberté d’expression.
Lors d’une manifestation du SIEL, Christine Tasin présidente de l’association anti islam Résistance républicaine aurait prononcé un discours « islamophobe ». Le tribunal correctionnel de Paris lui reproche d’avoir tenu des propos violents à l’encontre des musulmans, suite à l’attentat de Magnanville. Des paroles susceptibles de provoquer « un vif sentiment de rejet, voire de haine à l’encontre de cette communauté prise dans son ensemble ».
La présidente de l’association patriote Résistance républicaine se voit donc condamnée à 1 000 € d’amende en guise de dommages et intérêts à la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme). Somme qu’elle devra également verser à la Ligue des droits de l’homme.
Autrement dit, la justice rémunère les officines antiracistes pour leur travail de délation.
"Islam assassin" : les juges ont utilisé le Coran pour condamner Christine Tasin ! https://t.co/hsBdDQGDjW via @1ripostelaique
Soutien total— MédecinIden†i†aire ﻦ (@Reveident) 31 mars 2017
« Blasphème » : Christine Tasin condamnée par le gouvernement français pour avoir dit « islam, assassin »https://t.co/CUaXI0SbuL pic.twitter.com/BePiBpbxnk
— Jacques de Molay †ن▽ (@jacque2molay) 2 avril 2017