22/03/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Maître Moad Nefati, l’avocat de la mosquée de Fréjus, pavoise devant les caméras : la mosquée de Fréjus ne sera pas détruite. Et il a cette phrase hallucinante à l’égard de David Rachline :
« Aujourd’hui, n’est pas Charles Martel qui veut. De toutes les manières, il n’en a ni l’envergure, ni les moyens juridiques. »
Alors que le sénateur-maire FN de Fréjus David Rachline demandait la destruction du bâtiment, édifié sans permis de construire régulier, la cour d’appel d’Aix‑en‑Provence a décidé hier de son maintien. Les juges ont confirmé que la construction de la mosquée n’avait pas respecté les obligations du plan de protection des risques d’inondation. Mais, curieusement, ils ont estimé qu’il n’était pas nécessaire pour autant de détruire le bâtiment.
L’association musulmane El‑Fath qui gère la mosquée, son président, Driss Maaroufi, et Elie Brun, l’ancien maire UMP de Fréjus qui avait accordé les permis de construire, ont été condamnés à des peines de 5 000 à 20 000 € d’amende – des peines moins élevées qu’en première instance.
David Rachline a estimé que « la loi doit être la même pour tous. La situation n’est pas régularisable, car la zone est inondable » :
« N’importe quel Fréjusien aurait construit sa maison-là, elle aurait été détruite dans le quart d’heure ! »