01/03/2017 – FRANCE (NOVOpress) : A Hayange, en Moselle, le préfet a réquisitionné un hôtel pour y loger plusieurs dizaines de migrants albanais, qui ont demandé l’asile politique. Fabien Engelmann, le maire FN, ne décolère pas. Il a accordé un long entretien à l’hebdomadaire Minute, qui consacre un numéro spécial au « scandale des migrants logés à nos frais », dont nous extrayons ces courts passages.
Fabien Engelmann : Il y a un mois et demi, j’ai indiqué que j’estimais que nous avions assez de SDF à la rue, mais aussi de familles françaises qui vivent dans des logements insalubres à Hayange ou aux environs, pour ne pas en importer.
J’ai dit que nous étions d’accord pour que des SDF français soient hébergés dans cet hôtel et que, dans ce cas, le Centre communal d’action sociale de la ville pourrait même les aider avec le chantier d’insertion que nous avons mis en place. Evidemment, on m’a répondu que ce n’était pas possible.
On m’a répondu: « Vous savez, les SDF français, en règle générale, ils préfèrent rester à la rue. » Ce n’est pas entièrement faux. Mais il faut se poser la question du pourquoi ! Prenez les SDF français de Paris : quand il fait décidément trop froid, on les entasse dans une salle de sport, où ils ne disposent d’aucun espace personnel et où, évidemment, il y a des vols. Ce n’est pas du tout ce qui est offert aux demandeurs d’asile ou pseudos demandeurs d’asile !
Là, ces demandeurs d’asile sont chouchoutés. Ils ont une chambre d’hôtel avec tout le confort : toute la literie a été changée, ils ont des placards, ils ont un beau coin cuisine, un coin machine à laver – avec sèche-linge.
Tout cela n’a pas de sens.
Les directives de l’Etat conduisent au suicide de la France et je finis par me demander si ce n’est pas volontaire. Tout est fait pour augmenter l’invasion migratoire, et pour le faire au détriment des Français nécessiteux, qui sont pourtant légion.
Précisions, que détaille Fabien Engelmann dans ce même entretien : l’Etat va verser 30 000 euros par mois au propriétaire pour la location de la bâtisse, plus environ cinq euros par jour et par Albanais. Et ces Albanais disposent en plus de bons alimentaires, ainsi des transports gratuits.
Un entretien édifiant à découvrir en intégralité
dans l’hebdomadaire Minute n° 2811 daté du 1er mars.