19/04/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Dans un entretien exclusif accordé au Figaro, Alain Finkielkraut raconte l’agression verbale et les menaces dont il a été l’objet place de la République samedi soir et analyse ce qui se déroule là-bas.
Intrigué par tout ce que je lisais dans la presse sur le mouvement Nuit debout, j’ai voulu juger par moi-même. Je suis donc allé samedi soir place de la République, à Paris. À peine arrivé, j’ai été interpellé par un homme qui semblait avoir mon âge: «On va voir le petit peuple, quelle décadence!» Mon épouse, interloquée, l’a fusillé du regard. En réponse, il nous a tiré la langue, puis nous a ostensiblement tourné le dos. Refusant de nous laisser décourager par cet accueil, nous avons poursuivi notre chemin jusqu’à l’assemblée générale.
— Erwan Le Gall ن (@maurepasliberal) 18 avril 2016
Alain #Finkielkraut, #NuitDebout et le fascisme des antifascisteshttps://t.co/hE1P2bRpQp pic.twitter.com/OtRtbUhfsm
— Figaro Vox (@FigaroVox) 18 avril 2016
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— Figaro Vox (@FigaroVox) 18 avril 2016