15/02/2016 – SOCIÉTÉ (Présent 8546)
Voilà ce que c’est de vouloir à tout prix recruter en priorité des racailles de cité. Comme à la RATP, ils recueillent les fruits de leur discrimination positive. Ils l’ont voulu leur équipe Black, Black, Beur. Ils l’ont. De quoi se plaignent-ils ?
Après, comment s’étonner ou se scandaliser si l’entraîneur Blanc (on n’a pas idée de s’appeler Blanc) se fait insulter ? Traiter de « fiotte » sur une vidéo qui fait le tour du monde par le joueur musulman franco-ivoirien Serge Aurier qui lui doit tout. Laurent Blanc est responsable de son recrutement par les dirigeants du PSG et a fait du caïd venu de Sevran en Seine-Saint-Denis un titulaire en puissance, un gamin pourri gâté de 23 ans qui gagne des dizaines de millions d’euros.
Dans un chat vidéo en direct, Serge Aurier qui fume la chicha avec son pote Mamadou Doucouré, se lâche, tout content de lui, insultant également ses co-équipiers :
Question : « Laurent Blanc, il fait souvent la folle ou pas ? » Réponse : « C’est une fiotte ! » Question : « Blanc, il suce Zlatan ou pas ? » Réponse : « Il lui prend les couilles mon frère, il prend tout cousin ! »
Suit toute une série d’insultes racistes et homophobes, mais quand c’est chez les joueurs de foot musulmans ça ne pose pas de problèmes. Ça fait partie de la culture et des mœurs.
On se souvient de la réaction du sympathique Serge Aurier le soir des attentats du 13 novembre à Paris. Il avait tenu à exprimer son soutien aux… musulmans. « Ceux qui utilisent le nom d’Allah pour ce genre de tragédies ne sont pas de notre planète. Le terrorisme n’est pas la religion !!! Ne pas tout mélanger !!! »
Le 22 juillet dernier dans une vidéo, le PSG (qui appartient entièrement au Qatar) avait tenu à souhaiter un « Aïd Moubarak » aux supporters musulmans à l’occasion de la fin du ramadan. L’un après l’autre, quatre joueurs du Paris Saint-Germain, Kevin Trapp, Lucas Moura, Grégory Van der Wiel puis Serge Aurier avaient prononcé la formule en arabe.
Comme toute cette génération de footballeurs aux codes « racaille » incarnée par les Nasri, Ben Arfa, et autres Benzema indifférents voire hostiles à une France à laquelle ils se sentent étrangers, Serge Aurier est le pur produit d’un football professionnel français désormais de plus en plus islamisé à tous les étages, des centres de formation aux vestiaires de ligues 1, sans oublier les prières de Ribéry ou d’Anelka et les repas halal dans les équipes de France.
Caroline Parmentier