11/02/2016 – EUROPE (Présent 8544)
Les plaintes pour motifs sexuels ont été multipliées par quatre cette année lors du carnaval de Cologne, a annoncé mercredi la police de la ville. Mais peut-être est-ce par dix ou par cinquante, si l’on se réfère aux méthodes de dissimulation et de mensonge de la police allemande après les émeutes sexuelles massives de la nuit du 31 décembre dans la même ville.
Ce qui filtre aujourd’hui c’est que malgré l’exceptionnelle présence policière, malgré les caméras, les projecteurs géants, les parcs « sombres » fermés, les « points sécurité » pour que les femmes s’y réfugient en urgence (c’est qui les « réfugiés » ?) le carnaval de Cologne 2016 a été marqué par une forte augmentation du nombre d’agressions sexuelles et d’insultes à l’égard des femmes. 66 plaintes pour insultes et agressions sexuelles ont été déposées, contre 18 l’an dernier, selon un communiqué officiel. L’ampleur de cette augmentation a été largement relativisée au passage par la police : « L’une des explications possibles, c’est que les victimes portent davantage plainte qu’avant. »
En somme ce sont les plaintes qui ont augmenté, pas les agressions sexuelles ! Et l’autre des explications possibles ?
En Autriche, la mère du petit garçon de 10 ans violé par un migrant irakien a affirmé « regretter d’avoir inculqué à ses enfants d’être accueillants avec les réfugiés ». Les faits s’étaient déroulés le 2 décembre dernier, dans la piscine de Theresienbad à Vienne. Un sauveteur travaillant dans l’établissement a immédiatement appelé une ambulance après avoir découvert l’enfant blessé et en pleurs. Pendant ce temps, son violeur, un demandeur d’asile venant d’Irak, continuait tranquillement de s’amuser dans l’eau en sautant du plongeoir de la piscine.
En Autriche toujours, un demandeur d’asile gambien est accusé d’avoir assassiné une jeune Américaine de 25 ans qui l’avait aidé et accueilli chez elle. L’homme a été interpellé vendredi en Suisse.
En Norvège, plusieurs agressions sexuelles contre des migrants mineurs par d’autres migrants ont été recensées dans plusieurs localités du pays. Un phénomène passé sous silence par les autorités. Le 6 janvier dernier, un viol commis sur un enfant de trois ans à Stavanger dans un centre de réfugiés a provoqué l’effroi dans le pays.
L’un des costumes les plus tendance de ces Carnavals 2016 pourrait bien être la ceinture d’explosifs islamique. Quatre ceintures explosives ont été découvertes à la frontière syrienne par les soldats turcs dans les bagages d’un groupe de migrants dans le sud-est de la Turquie, que du coup on désigne sous le nom de « suspects » pour le PADAMALGAM. Le groupe était composé de 34 personnes, quatre hommes, dix femmes et vingt enfants… Entre 12 et 15 kg d’explosifs et quatre ceintures susceptibles d’être utilisées dans des attentats suicides ont été découverts dans leurs sacs. 30 000 civils syriens qui n’attendent que de pouvoir « migrer », sont depuis plusieurs jours massés à la frontière.
Le tout dans un silence assourdissant des gros médias dont l’intox chaque jour confrontée à la multiplication des faits ne semble jamais devoir faiblir.
Caroline Parmentier