La dhimmi du jour est Caroline de Haas, qui ne supporte pas qu’on dénonce les agressions sexuelles contre les Allemandes

25 janvier 2016 | Europe, Médias, Société

25/01/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)
La féministe en carton-pâte Caroline de Haas considère visiblement que le sort des femmes violées et agressées sexuellement est moins grave que la dénonciation de ces mêmes faits.

Pour Caroline de Haas, ne pas « stigmatiser » les brutes venues d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient vaut bien de passer sous silence les mille et quelques agressions sexuelles et viols dont ont été victimes les femmes allemandes. Reconnaissons à cette féministe dhimmi une certaine constance dans le propos, elle qui parlait de « merde raciste » pour parler de ceux qui faisaient le lien entre les « migrants » et les agressions de masse qu’ils avaient commises.

Accessoirement, pour quelqu’un dont l’insulte principale est « facho », le réflexe si typiquement collabo d’aller dénoncer son voisin à la Gestapo, ça fait un peu tâche, Mme Hass…

Où l’on constate – on s’en doutait un tout petit peu — que finalement, son féminisme en carton-pâte n’est que le cache-sexe de sa volonté de lutter contre l’identité française et européenne… d’où complaisance sans limite pour nos chers « migrants ».
Heureusement, sa bêtise la rend relativement peu dangereuse, à l’instar de sa consœur Clémentine Hautain, qui comparait les viols de masse de 1945 aux événements du réveillon à Cologne. Quand on sait qu’en 1945, c’est avant tout l’armée rouge, porteuse d’une idéologie dont elle se réclame peu ou prou qui ont commis ces viols, cela prête à sourire…

Reste bien sûr que ces « féministes » ont un accès aux médias de propagande inversement proportionnel à leur représentativité et à leur intelligence…

Charles Dewotine

Crédit photo : Parti socialiste via Flickr (CC) = Caroline de Haas


 

 

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