Commission Européenne, CEDH, gouvernements allemand et français : tous complices de l’invasion migratoire !

3 septembre 2015 | Politique

Source : Boulevard Voltaire
La Commission européenne distribue en ce moment les bons et les mauvais points. Les gouvernements ayant les politiques immigrationnistes les plus zélées sont félicités ; tandis que les gouvernements qui souhaitent protéger leurs peuples, comme ceux de la Hongrie ou de la Slovaquie, sont brocardés et lâchement abandonnés.

La Commission européenne distribue en ce moment les bons et les mauvais points. Les gouvernements ayant les politiques immigrationnistes les plus zélées sont félicités ; tandis que les gouvernements qui souhaitent protéger leurs peuples, comme ceux de la Hongrie ou de la Slovaquie, sont brocardés et lâchement abandonnés. Frans Timmermans, vice-président de la Commission Européenne, s’est ainsi fendu d’un communiqué qui ne fait pas mystère des intentions profondes de cette institution non élue : « Nous allons mettre à la disposition des autorités françaises jusqu’à 5 millions d’euros supplémentaires. Ces nouveaux fonds serviront à la mise en place d’un campement pouvant offrir une assistance humanitaire pour environ 1.500 migrants (et à) soutenir le transport des demandeurs d’asile de Calais vers d’autres destinations en France. » Il a par ailleurs assuré que la Commission européenne ne refoulerait jamais « ceux qui ont besoin de protection ».

Cette déclaration sera prise pour ce qu’elle est par les candidats à l’immigration : un encouragement à s’installer en France. Le communiqué est très clair, les 5 millions d’Euros supplémentaires sont destinés à installer durablement les clandestins à Calais ; mais aussi, pour faire bonne mesure, et satisfaire les différentes officines favorables à l’immigration de masse, à saupoudrer les clandestins sur tout le territoire national. Les zones jusque là épargnées, comme les campagnes, vont bientôt voir débouler des milliers d’immigrés illégaux, et, si rien n’est fait, peut-être demain des millions. La machine à falsifier le réel tourne à plein régime, consigne a été donnée de ne plus parler d’immigrés illégaux, de clandestins, ou même de migrants. Désormais il faudra parler de « réfugiés », un terme destiné à culpabiliser une opinion publique farouchement hostile à ce phénomène destructeur.
On pourrait comprendre que Manuel Valls, internationaliste et sociétaliste, n’ait pas le courage de s’opposer à l’immigration. En revanche, le fait qu’il l’encourage, en association avec la Commission européenne, peut être considéré comme un acte de trahison envers les intérêts nationaux. Juridiquement, un clandestin ne devrait avoir qu’un droit : celui d’être expulsé au plus vite. C’est ce qu’essaye de faire comprendre à l’Union Européenne le président hongrois, Viktor Orbàn. Ce dernier tente tout pour endiguer le flot ininterrompu de migrants venus de Serbie. Mais cela ne peut suffire face à la volonté de Merkel et Hollande. Les autorités serbes ont récemment été félicitées par la diplomatie française, via twitter, pour avoir laissés passer un maximum de clandestins dans l’espace Schengen. Dans ces conditions, il est impossible de lutter. Les sociaux-démocrates européens chercheraient-ils un électorat de substitution ? La question mérite d’être posée !
La « Cour européenne des Droits de l’Homme » a même condamné l’Italie. La raison ? L’Italie a expulsé, en 2011, des clandestins tunisiens arrivés à Lampedusa. Ce totalitarisme droit-de-l’hommiste contredit les intérêts des peuples européens. Nous ne voulons plus d’immigration invasion ! Si nous n’agissons pas maintenant, ils seront demain des dizaines de millions. Il faut refuser la soumission à Bruxelles, quitter Schengen, et sortir des juridictions supranationales. Il en va du devenir de notre nation, et de l’avenir de nos enfants.

Gabriel Robin

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