La folie meurtrière islamiste frappe à nouveau sur notre sol

27 juin 2015 | France, Société

Source : Boulevard Voltaire La folie meurtrière islamiste frappe à nouveau sur notre sol

Un corps décapité, à plusieurs dizaines de mètres de sa tête accrochée au grillage de la société Air Products, à Saint-Quentin-Fallavier dans l’Isère. Une nouvelle fois, l’islamisme a tué en France, sur notre sol millénaire.

Un corps décapité, à plusieurs dizaines de mètres de sa tête accrochée au grillage de la société Air Products, à Saint-Quentin-Fallavier dans l’Isère. Une nouvelle fois, l’islamisme a tué en France, sur notre sol millénaire. Nous n’aurions pas pu imaginer, hors les plus prescients d’entre nous, qu’un jour nous assisterions à des scènes d’une telle sauvagerie dans notre pays, de tradition chrétienne et humaniste. Des images qui rappellent les exactions du GIA dans les années 1990. Mais aujourd’hui, c’est en France que l’horreur se produit.

Le terroriste n’était pas un « déséquilibré » (encore qu’il faille être profondément mauvais, et souffrir d’un trouble de l’adaptation en société, pour adhérer à l’ultra-violence religieuse djihadiste) mais un guerrier au service d’une cause. Cette cause, c’est le djihadisme combattant de l’État islamique, qui tue, et met en esclavage, les chrétiens d’Orient, et les derniers païens yazidis. Notre gouvernement a abandonné les minorités religieuses du Moyen-Orient et a laissé prospérer les terroristes de l’État islamique, avec la plus grande indignité. Ces monstres ont maintenant étendu leur champ de bataille jusqu’à notre territoire, depuis déjà six mois, conformément à l’adage qui veut que le chien morde toujours la main de celui qui l’a nourri.

Le mal se régale de notre faiblesse, de notre versatilité, de nos compromissions. Lui ne recule devant rien. Si nous n’agissons pas fermement, ces gens auront raison de nous, et Versailles subira le même sort que Palmyre. Le terrorisme islamiste n’est pas un épiphénomène, c’est un problème qui dure dans le temps, et dont l’expansion est constante depuis désormais 20 ans. Cette foi combattante n’est pas nouvelle, elle est simplement en résurgence. Nous ne pourrons pas nous défendre sans prendre conscience de la gravité des enjeux, et sans faire usage de la force.

Bernard Cazeneuve l’a dit, le terroriste de l’Isère était fiché depuis 2006 pour radicalisation. Peut-être revenait-il d’ailleurs de Syrie, si tel était le cas, que faisait-il encore en France ? Les binationaux ayant participé au djihâd syrien, ainsi que les binationaux soupçonnés de préparer des actes terroristes en France, doivent être déchus de la nationalité française, et expulsés du territoire.

Pourtant, Bernard Cazeneuve et Manuel Valls montent des « cyber-bataillons » chargés de lutter contre la « radicalisation », au mépris du droit au respect de la vie privée des honnêtes gens, et créent des « Numéros Verts ». Tout cela est absolument ridicule et inadapté à la situation. En outre, le gouvernement laisse rentrer chaque jour des milliers de clandestins, en sachant pertinemment que des terroristes potentiels se cachent sur chaque embarcation à destination de l’Europe. Combien de sympathisants de la cause dans nos collèges et lycées, dans notre armée aussi ? Nous sommes en guerre. Le comprennent-ils pleinement ?

Ce gouvernement tente même de diaboliser les derniers à même de protéger la nation, c’est-à-dire les patriotes sincères. Non, les diables sont ceux qui veulent détruire nos dernières défenses immunitaires nationales. Répondons en lançant un grand « Merde ! » collectif de Cambronne, à l’adresse de tous les internationalistes et de tous les meurtriers qui nous menacent. Dehors, les barbares, dehors, les traîtres.

Gabriel Robin

Novopress est sur Telegram !

Newsletter

* champ obligatoire
« Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donne comme objectif de refaire l’information face à l’« idéologie unique ». Mais ce travail de réinformation ne peut pas se faire seul. La complémentarité entre les différentes plateformes existantes doit permettre de développer un véritable écosystème réinformationnel.