Délire orwellien : un député UMP pénalisé pour avoir dit “Madame le président”

7 octobre 2014 | France, Politique, Société

07/10/2014 – PARIS (NOVOpress)
On ne sait quand s’arrêteront les délires orwelliens et constructivistes des socialistes. Entre la destruction des racines ethno-culturelle par le biais du Grand Remplacement et l’application des directives de la fondation remplaciste Terra Nova et la destruction des identités familiales par la théorie anti-naturelle du genre et une égalitarisme homme-femme absurde, les socialistes poursuivent une oeuvre totalitaire digne de 194 de George Orwell. Notamment par le biais de la féminisation outrancière des noms d’institution ou de fonction, sorte de novlangue actuelle. Une novlangue qui de plus va à l’encontre des règles du français.

Dernier exemple en date, indiqué par nos confrères de l’Express, le député UMP du Vaucluse Julien Aubert (photo) va être privé du quart de ses indemnités mensuelles pour avoir tenu à dire “Madame le président” lors d’une séance à l’Assemblée nationale; Lors de la même séance, le député UMP avait tenu à interpeller Ségolène Royal en usant du “Madame le ministre”.

Lundi soir, dans le cadre de l’examen du projet de loi de transition énergétique, l’élu prend la parole et s’adresse à Sandrine Mazetier, députée PS de Paris et présidente de séance, d’un “Madame le président”.

Celle-ci lui demande alors de respecter la présidence et le réglement de l’Assemblée en l’appelant “Madame LA présidente”. Julien Aubert lui répond alors qu’il ne fait que suivre “l’Académie française” en disant “Madame le président”.

Ce rappel à l’ordre avec inscription au procès-verbal entraînera la privation, pendant un mois, du quart de l’indemnité parlementaire pour le député du Vaucluse, selon le réglement de l’Assemblée.

Pour lire l’article dans son intégralité.

Crédit photo : Julien.Aubert.vaucluse via Wikipédia (cc).

Novopress est sur Telegram !

Newsletter

* champ obligatoire
« Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donne comme objectif de refaire l’information face à l’« idéologie unique ». Mais ce travail de réinformation ne peut pas se faire seul. La complémentarité entre les différentes plateformes existantes doit permettre de développer un véritable écosystème réinformationnel.