02/09/2014 – ROTHERHAM (NOVOpress)
Le scandale des viols de 1400 femmes anglaises de souche à Rotherham (Grande-Bretagne) par des gangs de Pakistanais a montré une nouvelle fois la chape de plomb médiatique et politique qui s’abat sur les agressions sexuelles racistes et anti-blanches. Car loin d’être un cas isolé ou une bavure judiciaire, l’affaire de Rotherham vient s’ajouter à la longue liste des agressions sexuelles étouffées à cause de l’origine ethnique des violeurs et des victimes. Panorama.
Rotherham : 1400 mineurs violées par des gangs de Pakistanais
Le rapport d’Alexis Jay Obé intitulé « Independent Inquiry into child sexual Exploitation in Rotherham » a fait l’effet d’une douche froide sur l’opinion britannique. Car non seulement, pendant 16 ans (de 1997 à 2013), plus de 1 400 mineurs ont été violées par des gangs, mais comme le note le rapport, la « plupart des victimes dans les cas que nous avons analysé étaient des enfants britanniques blancs, et la majorité des auteurs appartenaient à des communautés ethniques minoritaires. »
Pire, plus d’un tiers des cas étaient déjà connus des services sociaux mais « plusieurs membres du personnel ont décrit leur nervosité à identifier les origines ethniques des auteurs de peur de passer pour raciste» !
En clair, mieux valait laisser des adolescentes voire parfois des enfants être « victimes de viols collectifs, d’échanges avec d’autres villes du nord de l’Angleterre, enlevés, battus et intimidés » plutôt que de risquer d’apparaître comme raciste…
Rochdale : 47 jeunes filles transformées en esclaves sexuelles
Entre 2008 et 2009, à Rochdale (près de Manchester) 47 jeunes Anglaises de souche âgées de 13 à 15 ans ont été violées et parfois obligées de se prostituer par un gang d’asiatiques composé de huit Pakistanais et d’un Afghan. Dans son verdict, le juge Gerald Clifton avait affirmé en 2012 que « chacun de vous a traité [les victimes] comme si elles étaient sans valeur et indignes de respect […] parce qu’elles ne faisaient pas partie de votre communauté ethnique ou religieuse. » En 2008, une des victimes avait été trouver la police, mais son témoignage n’avait pas été jugé assez crédible. Son supplice s’est poursuivi pendant quatre mois. Et des dizaines d’autres filles ont encore été violées. Ann Cryer, ancienne députée travailliste, a affirmé que les autorités avaient ignoré les plaintes, parce qu’elles étaient pétrifiées à l’idée d’être accusées de racisme, et que ces filles innocentes avaient été trahies, laissées dans une misère indicible à cause du politiquement correct.
Parmi les neuf condamnés : des pères de famille, un immigré clandestin prétendant fuir les talibans, et un professeur de religion d’une mosquée locale, qui avait demandé à l’une des victime âgée de 15 ans de lui amener ses amies plus jeunes. Un des violeurs osera même déclarer à la barre: « Vous, les Blancs, vous entraînez vos filles à boire et à faire du sexe. Quand elles nous arrivent, elles sont parfaitement entraînées. »
Bradford, Oldham, Blackbun : La police préfère fermer les yeux sur les viols par peur des violences
En 2004, un documentaire anglais a montré comment la police préférait fermer les yeux sur les cas de viols de femmes blanches plutôt que de risquer un embrasement de certaines villes britanniques. Par peur de la violence et d’être soupçonnés de racisme, les policiers ont laissé des gangs composés en majorité de Pakistanais exploiter sexuellement des jeunes filles blanches en les prostituant (source). A Bradford, par exemple, les forces de l’ordre n’ont pas arrêté les membres pakistanais d’un réseau de proxénètes prostituant des adolescentes blanches car cela pouvait provoquer des violences raciales et perturber la campagne électorale locale ! Selon les déclarations du leader musulman et britannique, Mohammed Shafiq , les autorités policières n’agissent pas à l’encontre de cette nouvelle forme de traite des blanches par des bandes ethniques pour ne pas être accusées d’être des racistes ! « He claimed, driven by fear of race riots in places like Blackburn and Oldham, officers were “overtly sensitive” and not clamping down on the sordid practice. (…) Speaking as part of the Panorama investigation, which airs tomorrow (Thursday), Shafiq said: “I think the police are overcautious on dealing with this issue openly because they fear being branded racist and I think that is wrong.” »
En 2011, le journal Daily Mail relevait que « les enquêteurs du University College London ont relevé que depuis 1997, 17 procès devant les tribunaux ont eu lieu, dont 14 ces trois dernières années, impliquant la prostitution dans la rue de mineures de 11 à 16 ans organisée par des réseaux d’hommes. Trois des 56 accusés reconnus coupables étaient des blancs et 53 des Asiatiques, dont 50 étaient des musulmans, en majorité d’origine pakistanaise ».
Derby 2010 : le tabou du gang « anglo-pakistanais »
Sur les 27 victimes du gang « anglo-pakistanais » à Derby condamné en juin 2011, 22 jeunes filles étaient blanches. Les criminels étaient Abid Siddique, 27 ans, Mohammed Liaqat, 28, Mohamed Imran Rehman, 26, Faisal Mehmood, 24, Akshay Kumar, 38, Naweed Liaqat, 33, Farooq Ahmed, 29 ans, Graham Blackham, 26 et Ziafat Yasin, 31 ans.
Gérald Pichon
Photo Une : l’hôtel de ville de Rotherham, crédit : Paul Eggleston via Wikipédia (cc). Crédit photos article : DR.