[Lu sur Internet] Bygmalion en liquidation judiciaire, la démonstration d’un système pourri – par Gabriel Robin

22 juillet 2014 | Politique

22/07/2014 – PARIS (via Boulevard Voltaire)
(…) Bygmalion éclaire d’une lumière noire les pires travers politiciens et affairistes des élites contemporaines. Valeurs Actuelles révélait, ce 17 juillet, que la société Bygmalion est en liquidation judiciaire, selon une source au Tribunal de Commerce de Paris. Comme le veut la procédure en pareille circonstance, un liquidateur sera nommé, celui-ci aura accès à la totalité de la trésorerie, des contrats et des factures de la société depuis l’origine. Gageons que cet homme aura un gros travail à fournir !

(…)

Et il ne s’agit pas de petites dépenses, pas moins de 10 à 11 millions d’euros de fausses factures sont en cause ! Une escroquerie à très grande échelle, qui devrait légitimement courroucer les militants UMP qui ont du payer de leur poche ces « abus » (et d’autres) après le sketch « histrionique » de Jean-François Copé pour « sauver le parti » de sa mauvaise gestion ! Ces militants ont été cocus.

(…)

Bygmalion était une société fantoche ayant pour unique client l’ « Union pour des Mensonges Profitables » (ainsi que j’ai rebaptisé l’UMP). Cette société travaillait au seul service de ce qui était alors le parti de la majorité présidentielle, de nombreux salariés honnêtes, et les sociétés prestataires de service, ont perdu leurs emplois et leurs contrats. Mais ça, les huiles s’en moquent, pour eux c’est « sauve qui peut » et politique républicaine plutôt que mystique. Il faut continuer à tondre la laine sur le dos du mouton France, ils savent bien que les électeurs français, versatiles par nature, continueront à les élire…

Pour lire l’article dans son intégralité

Crédit photo : Marie-Lan Nguyen via Wikipédia (cc).

Novopress est sur Telegram !

Newsletter

* champ obligatoire
« Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donne comme objectif de refaire l’information face à l’« idéologie unique ». Mais ce travail de réinformation ne peut pas se faire seul. La complémentarité entre les différentes plateformes existantes doit permettre de développer un véritable écosystème réinformationnel.