Ce décor meuble ne peut, en l’état de la législation sur les monuments historiques, malgré sa faible valeur, et bien que les murs soient classés, être attaché à l’immeuble qui l’a vu naître. Cette lacune, que la SPPEF souhaiterait voir combler, concerne ainsi de nombreux patrimoines, au delà de la question de l’intégrité des grandes demeures françaises.