09/04/2014 – PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
Le principe de précaution a eu raison de la viticulture biodynamique. Emmanuel Giboulot a été condamné en première instance à 1.000 € d’amende. Ce viticulteur bio avait refusé de traiter chimiquement ses vignes contre la flavescence dorée. Cette maladie grave de la vigne ne touchait pas son département et ne constituait donc pas de menace urgente. De plus il n’existe pas de traitement ciblé, et c’est tout l’écosystème de la vigne qui est détruit par ces traitements chimiques. Le viticulteur va faire appel, mais le dogme du tout chimique et du traitement préventif n’est pas encore entamé.
Crédit photo : Morburre via Wikipédia (cc).