04/11/2013 – 21h35
PARIS (NOVOpress) – Patatras pour la gauche, plusieurs semaines après avoir fait croire à des violences contre elle, une militante de l’Unef reconnait que cette agression “raciste” était parfaitement imaginaire. Elle est même poursuivie pour “dénonciation de délit imaginaire”. Un aveu qui tombe au plus mal pour certains journalistes qui tiennent tant à faire passer ces militants pour des anges, victime d’une extrême droite fantasmée et inexistante…
Une militante de l'UNEF avoue avoir inventé son agression à Paris http://t.co/GFkD01OiXd
— Le Monde (@lemondefr) November 4, 2013
Certains rappellent que cette fausse agression avait été acceptée par les médias qui avaient diffusé ce bobard sans aucun travail d’enquête (il faut dire que nombre de journalistes sont issus de l’Unef…)
https://twitter.com/bobardsdor/status/397349685821599744
Mais c’est le journaliste de Canal +, qui a réalisé un reportage diffusé hier montrant les militants antifas très violents comme des anges, qui subit le plus de critiques.
https://twitter.com/vicieuxcanard/status/397367909150121984
Pire aux yeux de certains, des médias complaisants invitent les responsables de l’Unef pour parler de ce mensonge.
https://twitter.com/FrDesouche/status/397414867784593408
Enfin, d’autres rappellent les véritables agressions dont des membres de l’Unef étaient responsables.
L' #UNEF et #SUD agressent des élus et militants de l' #UNI devant l'université de Tolbiac. #DissolutionUnefhttp://t.co/vuMgqdEEbO
— Aurélien Verhassel | Toujours en première ligne ! (@A_Verhassel) November 4, 2013
Crédit photo : Superbenjamin via Wikipédia (cc).