Viktor Orbán, Premier ministre hongrois, dont les mesures sont décriées par Bruxelles. Crédit photo : Európa Pont via Wikipédia (cc).
09/10/2013 – 08h00
BUDAPEST (NOVOpress via le Bulletin de réinformation ) – Le gouvernement hongrois est la tête de turc de l’Union européenne. Le traitement de la loi sur les sans domicile fixe vient de fournir un nouveau prétexte aux critiques européistes.
Que l’Etat ait débloqué des fonds pour des structures d’accueil n’intéresse pas Bruxelles. Seul compte à ses yeux le viol d’un certain Etat de droit. Voyez plutôt : à présent, les abris de fortune — comprendre « bidonvilles » — pourront être détruits automatiquement par les autorités locales et les sans-abris expulsés de certaines aires urbaines. Pas de quoi pronostiquer la fin de l’Etat de droit…