Retour au réel avec “Sale Blanc : chronique d’une haine qui n’existe pas”

28 février 2013 | Société

28/02/2013 – 13h00
PARIS (NOVOpress) –
Face à la réalité des violences perpétrées en France contre les populations blanches, une voix courageuse s’élève contre le tabou d’une haine raciale que nombre de victimes n’osent pointer du doigt par crainte d’endosser l’habit de l’affreux raciste. Un racisme anti-blanc sciemment occulté par les élites d’une cinquième République à bout de souffle, dont l’utopie multiculturaliste encensée à grands coups de renforts médiatiques, artistiques et financiers n’est certainement pas étrangère à son déclin. On ne compte plus les deniers publics dépensés par des officines antiracistes curieusement insensibles au sort des autochtones de banlieues. Dans cette perspective, l’intérêt majeur du livre de Gérald Pichon,  Sale Blanc : chronique d’une haine qui n’existe pas, n’est donc pas tant la révélation de ce racisme anti-blanc battant en brèche le sacro-saint universalisme républicain que les subterfuges, les mystifications employés par les élites politiques, la caste médiatique, la sphère associative pour mettre sous le boisseau cette violence orchestrée par les bandes ethniques.

L’autre intérêt de Sale Blanc : chronique d’une haine qui n’existe pas réside dans la mise à nu de l’imposture des élites politiques et financières. Elles agitent aujourd’hui sans vergogne le chiffon rouge du racisme anti-blanc. Il y a eu les anciens adorateurs de Mao qui sentant le vent tourner se sont réfugiés dans les bras du capitalisme ultra-libéral. Il y a aujourd’hui les anciens laudateurs du vivre-ensemble qui, observant les méfaits de leur projet de société, écument plateaux télé, studio de radios et font preuve d’une soudaine et suspecte empathie pour le petit blanc. Leur objectif est simple : faire oublier leur rôle de porte-voix d’une immigration massive et d’ex-procureur stigmatisant le pauvre franchouillard pas franchement réjoui à l’idée d’expérimenter dans son quotidien les joies d’une « société ouverte sur l’extérieur… ». A l’instar des anciens séides staliniens, cette oligarchie, affublée des oripeaux du métissage, s’échine à camoufler par tous les moyens ce passé peu glorieux. Dans son livre, Gérald Pichon déconstruit leur discours pernicieux, leur tour de passe-passe et leurs mensonges rendus possibles grâce à la complicité du monde journalistique et renvoie dos à dos thuriféraires de la diversité et nouveaux opportunistes de la politique électoraliste.

Sale Blanc : chronique d’une haine qui n’existe pas rend donc justice aux dizaines de milliers d’invisibles qui chaque semaine, chaque mois, chaque année sont aux mieux l’objet d’insultes, de moqueries à cause du blanc de leur peau au pire victimes d’agressions physiques pouvant parfois connaître de dramatiques issues. Ce livre est donc un vibrant hommage à ces sans-voix, abandonnés sur le bas-côté de la République, à qui l’on a asséné l’idée que « l’immigration est une chance pour la France… ». Dans un style clair et percutant, le propos fort bien documenté de Gérald Pichon est une démonstration magistrale de l’existence de la haine du Blanc. Un livre de chevet indispensable pour comprendre le véritable tabou de la cinquième République.

Guillaume Lamarque

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