16/01/2013 – 21h00
PARIS (NOVOpress) – Jacques Peyrat, l’ancien maire de Nice et président de l’Entente républicaine, peut savourer l’instant. Jacqueline et Patrick Villardry et lui-même ont tous les trois été relaxés par la cour d’appel d’Aix en Provence dans le cadre d’une instruction pour emplois fictifs.
Il était reproché à M. Peyrat, d’une part, l’embauche de Jacqueline Villardry à la mairie, alors qu’elle n’aurait exercé aucune activité réelle, d’autre part d’avoir facilité le détachement injustifié, entre 2005 et 2008, d’un agent municipal au sein d’une association canine présidée par Patrick Villardry.
Relaxés en première instance, ces trois personnes étaient poursuivies en appel par le Parquet, alors que la Mairie de Nice, partie civile, avait décidé de ne pas interjeter appel.
Pour Jacques Peyrat : “Nous étions dans un procès politique. Dans le dossier il n’y avait rien. Absolument rien. Je n’étais pas inquiet. J’attendais la décision avec confiance”.
Une telle information fera-t-elle évoluer la donne quant aux élections municipales à Nice en 2014 ? Nul ne peut encore le proclamer.
Elections qui seront évoquées vendredi au Bastioun lors de la galette des rois de Nissa Rebela, où Philippe Vardon présentera “les vœux des identitaires, les différents projets des semaines et mois à venir. [Il] consacrera une large partie de mon intervention aux prochaines élections municipales. Enfin, [Philippe Vardon] présentera notamment la réorganisation du Bureau dirigeant de Nissa Rebela, dans le cadre de la préparation de ces échéances.”
De plus, Philippe Vardon se rendra à l’assemblée générale de l’Entente républicaine le 24 janvier prochain.
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