Le “Nouvel Obs” place Fabrice Robert dans la galaxie des anti-Hollande

15 novembre 2012 | France, Politique

15/11/2012 — 08h00
PARIS (NOVopress) — Six mois après son élection à la présidence de la République, François Hollande semble avoir gagné la concours de l’hôte de l’Elysée critiqué le plus rapidement après son accession à la magistrature suprême. Critiqué, de plus, à droite et à gauche – le fameux “Hollande bashing”. Dans son dernier numéro, le Nouvel Observateur consacre sa Une et son dossier aux “croisés anti-Hollande”.

Mgr André Vingt-Trois, Jean-Luc Mélenchon, Florian Philippot, Fabien Cohen (mouvement les Pigeons), Geoffroy Didier (la Droite forte), Jean-Vincent Placé (Europe-Ecologie-les Verts), Xavier Lemoine (maire UMP de Montfermeil), Philippe Gosselin (député UMP de la Manche,et chef de file de l’Entente parlementaire pour la Famille), voici la liste des anti-Hollande que le Nouvel Obs décrit dans une galerie sur son site. Et ce pour illustrer ces opposants à François Hollande. A chaque portrait correspond une fiche détaillant petites phrases et raisons de ces critiques du président de la république.

Galerie à laquelle  l’hebdomadaire de la gauche caviar joint Fabrice Robert (capture d’écran ci-dessus), rappellant notamment la création de Novopress et de la campagne (et du site) “Pas mon président“. Selon le Nouvel Obs, “à 41 ans, il a multiplié les initiatives pour diffuser ses idées nauséabondes (sic, note de Novopress) : création du groupe de rock Fraction Hexagone, organisation des Assises sur l’islamisation, fondation de l’agence d’information Novopress… La dernière en date est un site dédié au nouveau chef de l’Etat, où il tire à vue dès la page d’accueil. Il dit : ‘Hollande n’est pas mon président !’”


Novopress est sur Telegram !

Newsletter

* champ obligatoire
« Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donne comme objectif de refaire l’information face à l’« idéologie unique ». Mais ce travail de réinformation ne peut pas se faire seul. La complémentarité entre les différentes plateformes existantes doit permettre de développer un véritable écosystème réinformationnel.