13/06/2012 – 08h00
BAGDAD (NOVOpress) – Les groupes de black metal, une déclinaison du hard rock, véhiculent souvent un folklore et des propos antichrétiens. Ils s’expriment librement en Europe.
Mais en terre d’islam, les musiciens qui veulent contester la religion musulmane risquent la mort. C’est ce que relate un article du site The Atlantic.com.
Le site publie le témoignage anonyme d’une jeune femme, appelée Anahita, ayant perdu en Irak ses parents et un frère dans un attentat-suicide commis par un musulman. Quand Kim Kelly, la journaliste, lui demande que ce feraient les musulmans s’ils découvraient les paroles de son groupe, elle affirme : « La réponse est simple : ils me tueraient, ainsi que tous mes amis, en nous décapitant ». La musique n’adoucit pas les mœurs dans une société sous le joug de l’islam.
Crédit photo : Maria Sarakatsiano, via Flickr, licence CC.