10/05/2012 – 14h00
PARIS (NOVOpress) — Le samedi 21 avril s’est réuni à Lyon le nouveau bureau directeur du mouvement identitaire. Ce bureau directeur reflète la variété des initiatives et des engagements militants de l’ensemble de la mouvance identitaire. Son objectif est d’assurer une parfaite symbiose entre les différentes structures et plus particulièrement entre les deux principales formations militantes (le Bloc et les jeunes identitaires). La liste des membres du bureau directeur est consultable à l’adresse suivante : www.bloc-identitaire.com/bloc-identitaire/bureau-directeur Nous vous proposons une série de portraits pour faire connaissance avec les membres de la direction. Aujourd’hui, rencontre avec Benoît Lœuillet.
Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Je m’appelle Benoît Lœuillet et j’ai 40 ans. Je suis né et ai toujours vécu à Nice où j’ai fondé une famille avec deux enfants. Je suis diplômé en Histoire et cette passion m’a tout naturellement amené à créer une librairie il y a maintenant plus de 10 ans. Elle a été la première pierre de l’implantation des Identitaires sur Nice en 2001 et de notre volonté de travailler sur un quartier. On y retrouve maintenant notre local, plusieurs commerces tenus par des militants et un grand nombre d’entre eux y résident.
Un petit résumé de votre parcours politique ?
J’ai milité dans les milieux nationalistes révolutionnaires et patriotiques dès mon adolescence puis au lycée et à la faculté jusqu’à participer à la création des identitaires sur la région niçoise avec Nissa Rebela en 2004. Cette volonté de vouloir agir concrètement ici et maintenant sur une rue, un quartier ou une ville me convenait parfaitement après des années de militantisme plus abstrait. Moins de romantisme mais plus de réalisation ! Je me suis présenté à plusieurs élections sous les couleurs de NIssa Rebela (municipales, cantonales et législatives) où j’ai atteint jusqu’à 7,7% en 2009. Je suis également fier d’être l’un des fondateurs des maisons de l’identité avec “La Maioun” en 2004 et aujourd’hui “Lou Bastioun”, ainsi que de la Marche en l’honneur de Catherine Ségurane dont nous allons fêter le 10ème anniversaire en septembre.
Dans quel domaine particulier apportez-vous votre expertise et vos connaissances au sein de la direction des identitaires ?
Je pense tout d’abord pouvoir y apporter mon expérience professionnelle. La culture ne doit pas rester l’apanage d’une certaine gauche bobo. La rédaction, l’édition, la diffusion littéraire doivent être promues pour faire avancer nos idées. Je pense ensuite pouvoir aider en ce qui concerne les maisons de l’identité. Nous avons une expérience de 8 ans dans ce domaine à Nice et j’en ai toujours été le responsable notamment au niveau administratif et financier. Ces locaux doivent être les fondations et le ciment de chaque groupe militant structuré. Que 10, 100, 1000 maisons de l’identité fleurissent sur le sol français et européens !